Les textes hébraïques mentionnés dans ce " mémoire " sont relevés dans la Bible (l’ancien testament).
BERASCHIT : QUI SONT LES DIEUX ET NAISSANCE DES HOMMES
Tout d’abord, je vous mets en garde contre les traductions littérales incomplètes ou erronées que vous rencontrerez dans toutes les bibles – ancien ou nouveau testament – Toutes contiennent des fautes de traduction et aussi des arrangements où cette traduction a été faite pour les besoins de la cause…Le travail que je vous donne ici est fait sans qu’il soit changé " un trait de lettre " suivant la tradition comme ce n’est pas malheureusement toujours le cas, bien au contraire.
Voyons la première phrase : beraschit = au commencement.
Bera = créa, aléhim = (l’équipe des ) aléhim, at eschamaïm = les cieux, vat earets = et la terre (Genèse I, I) ce qui nous donne en langage claire :
Au commencement, l’équipe des Alehim (Gilgamesh, ses compagnons et leurs femmes) créa " l’Univers, les Cieux et la Terre ".
Ainsi, le premier verset du premier chapitre de la Genèse relate clairement la création de notre Univers. Ce n’est pas un seul homme, un seul " alèha " qui la crée comme le disent les mauvaises traductions catholiques, orthodoxes et protestantes, mais bien une équipe d’aléhim, composée de plusieurs " aléha " - puisque le terme qui les désigne est au pluriel.
En 1965/1966, je vous ai dit que Gilgamesh était accompagné de huit compagnons, ainsi que leurs femmes… ceci étant entièrement confirmé par l’emploi de JE ou MOI au féminin : " anokhi " dans le même texte " heraschit " (Genèse VII,4) et (Genèse XV,I), lorsqu’une aléha s’adresse à " Noah ", (Noé) et également à " Avraam " (Abraham). Le genre masculin de JE ou MOI est " ani " en hébreux.
Le terme " aléhim " ne désigne donc pas un " dieu " puisqu’il est au pluriel (le singulier étant " aléha ", ni les " anges " comme l’a improprement traduit l’église grecque. En hébreu, " ange " se dit " ha-malakh " au singulier et " malakim " au pluriel. (voir Epître aux Hébreux XIII, 1 et 2).
De même, le mot " béraschit " signifie " commencement " d’une chose, d’un fait, et non genèse du grec " génèsis " signifiant ensemble cosmogonique de faits ou d’éléments… On ne peux pas traduire non plus par " les dieux " ce mot " aléhim " puisqu’il s’agit d’une équipe d’humanoïdes comme vous et moi.
" Aléhim " est un mot lamnhorien signifiant " ceux du dehors " qu’il ne faut pas confondre avec " Ceux d’ailleurs ", le terme " Ceux du dehors " désignant ceux qui sont venus du dehors de cet Univers. Les Hébreux ont gardé cette expression sans la traduire.
Par suite de la lenteur de l’écoulement du temps sur leur planète, les " aléhim " ont conservé ce caractère physiologique dans notre Univers, ne semblant ainsi pas vieillir, ils paraissent éternels à l’échelle de notre Univers, de notre Espace. Cependant, il faut comprendre que les " aléhim " ne sont que des hommes et non des dieux. Il est bien entendu que les descendants directs des " aléhim " ayant quitté sur Espace pour habiter définitivement notre Espacenous sembleraient eux aussi eternels… Cependant au cours des générations futures, la longévité des " aléhims " diminuera progressivement pour se situer aux environs de mille ou 700 ans de nos années.
Voyons maintenant la suite de la création : A partir du second verset du " baraschit ", il est uniquement question de " earetz" (la Terre) sur laquelle régnait la solitude. Elle était entourée de nuages très épais ne laissant pas pénétrer la lumière du Soleil. Cela était du à la très forte chaleur qui faisait évaporer partiellement les marais représentant la plus grande partie de la surface du sol de " earetz".
C’est donc dans cet état que l’équipe des " aléhim " l’a trouvée la première fois, quand ils sont venus en exploration à l’aide de leur " Vimh’na ".
Dans ce second verset du premier chapitre du " beraschit " on lit : " l’esprit des dieux se mouvait à la surface des eaux " ce qui se traduit logiquement par : l’équipe intelligente des " aléhim " " rouah aléhim " voyageait au dessus des eaux, des marais c’est à dire explorant " earetz " comme nous le faisons actuellement avec " Astharté " (Lune).
Cette équipe se mis au travail afin de rendre habitable notre planète et elle commença par réduire les brouillards et les nuages en les précipitant sous forme liquide – " hamaïm " signifiant " les eaux " - à la surface du sol et la lumière du soleil put ainsi l’atteindre. L’équipe des " aléhim " apportait donc au " iom aer " se traduisant par " jour un " la lumière du soleil grâce à leur technique, d’où l’emploi dans la Bible du mot " aour " signifiant " lumière spirituelle " de la racine " or " au lieu du mot " sa " signifiant " lumière produite par le feu " le mot " feu " lui-même ne se disant pas.
C’est à partir de cette date que " iom " le jour et " lileh " la nuit se succédèrent sur notre planète. Cette opération dura un temps que nous désignons sous le terme de : Une Heure Cosmique soit 2160 ans… Sur les neuf " aléhim " constituant l’équipe , 6 d’entre eux s’occupèrent de la planète " earetz " " bera-schit " signifiant " six créa " (béraschit I,2 à 5).
Pourtant, l’épuration de " earetz " était incomplète et il y avait toujours d’épaisses nuées avec de courtes éclaircies très passagères ? c’est ainsi qu’on pouvait apercevoir " schamaïn " le ciel et le différencier de " hamaïm " les eaux. C’est à ce moment là que les premiers continents se desséchèrent pour former des continents viables entourés des eaux formant les mers et les océans.
Pendant ces opérations, l’équipe des " aléhims " ne résidait pas sur " l’earetz " en permanence, mais elle faisait des voyages réguliers entre leur centre et la planète Terre pour se rendre compte de l’état où elle se trouvait et des travaux entrepris. C’est au cours de l’un de ces voyages que l’équipe des " aléhim " apporta des " dzerha " signifiant " germes " et traduit par " graines " qu’elle sema, ainsi que des pousses d’arbres qu’elle planta… Ces différentes opérations durèrent deux heures cosmiques soit 4320 ans (béraschit I,6 à 13). Les plantes et les arbres ayant poussé, de véritables foêts couvrirent partiellement les continents. Par l’absorption qu’ils firent des nuages carbonés du fait de leur fonction chlorophyllienne, ces arbres débarrassèrent l’atmosphère des nuages et le ciel devenu clair permit de voir le Soleil et Astharté de manière régulière. L’équipe des " aléhim " fut satisfaite de son travail. (beraschit I,14 à 19)
Pendant la cinquième heure Cosmique, l’équipe des " aléhim " apporta de chez elle les habitants des " hemaïm " des eaux, ainsi que les oiseaux qui volent au dessus de " earetz " dans " eschamaïm " les cieux. (beraschit I,20 à 23)
Lors de la sixième heure cosmique, l’équipe des " aléhim " apporta tous les animaux vivants sur les continents de " earetz " et cette équipe fut satisfaite de ce transfert. (béraschit I,24à 25)
Nous voici arrivés au temps de " ha-adam " l’homme pris dans le sens général de l’humanité. L’équipe des " aléhim " " bera " fit - l’humanité physiquement comme les aléhim. Elle fit " zakhirah va-na-qavah " - mâle et femelle – et ils furents préparés synthétiquement ensemble (béraschit I,26 à 27). Ils étaient conditionnés pour se multiplier et se répandre sur les continents avec, pour nourriture, tous les fruits et les légumes. Ils avaient également le droit de commander aux êtres vivants dans les eaux, aux oiseaux volants dans les cieux et aux animaux qui sont à la surface du sol. (beraschit I,28 à 31)
Le procédé employé par l’équipe des " aléhim " consiste à provoquer la fécondation d’un ovule par un spermatozoïde dans une éprouvette. C’est la méthode la plus simple et elle fut expérimentée en 1955/60 par un chercheur italien, Daniel Pétrucci, mais pour des raisons de moralité il lui fut interdit de continuer ses travaux.. Cependant, cette méthode s’avérait nécessaire afin d’obtenir rapidement un très grand nombre de sujets " ha-adam ", ce qui aurait été impossible par une procréation naturelle à partir des couples des " aléhim ". Par suite d’une erreur dans ce procédé, ces " zakhirah va-na-qavah " mâle et femelle étaient hermaphrodites. Cette possibilité fut prouvée par le Dr Freidmund Neumann au Congrès des pharmaciens de Berlin, en novembre 1967.
L’équipe des " aléhim " ne disposait que d’une heure cosmique (2160 ans) pour réaliser cette fabrication artificielle des humanoïdes.
Dans le cas de cette fabrication, tous les caractères physiques, physiologiques et morphologiques des géniteurs se retrouvents dans les êtres ainsi préparés – et non conçus – et c’est pour cela qu’il est écrit : c’est à " betzelem aléhim " - l’image des " aléhim " que l’équipe des " aléhim " créa " zakhirah va na-qavah " mâle et femelle (béraschit I,27). Ainsi avons-nous encore aujourd’hui certains caractères génétique, olus ou moins atténués, des " aléhim " qui sont nos ancêtres.
" Ha-adam " l’humanité – se développa et peupla une planète et non " earetz " la Terre, ni celle où résidait l’équipe des " aléhim ". Cette fabrication de l’humanité eu lieu durant la septième Heure Cosmique.
Cette équipe laissa ses créatures se multiplier pendant un temps sans intervenir et c’est ce qui fait écrire que l’équipe des " aléhim " se reposa le " iom eschavitzi " - jour septième – (béraschit II,2 à 3)
Je précise bien que cette création n’a pas eu lieu sur " earetz " mais qu’elle eut lieu sur une planète d’une autre galaxie non désignée.
Dans le quatrième verset du second chapitre du " béraschit ", il est intéressant de noter qu’en parlant de la création de l’Univers figure le mot " beram " (pluriel du mot " bera " qui est distinctement marqué d’une étoile à six branches sur le " he " plus petit que " beram " dans la phrase : les cieux et " earetz " furent créés. Il est donc significatif que le mot " bera " - créa – de la première phrase du " béraschit " employé au singulier ne présente pas de faute puisque qu’il s’agit d’une équipe qui créa.
L’un de " Ceux du Dehors " du nom de " ieve " - ieve aléhim – (dont les mauvaises traductions ont fait l’Eternel Dieu ou Jéhovah) s’est occupé personnellement de la formation de l’humanité dont sont issus quelques uns des peuples que nous connaissons. Il se rendit sur une planète et là, partant de " ha-adam " (ou l’humanité fabriquée par les " aléhim "), il fabrique un autre " adam " (homme). Tous les individus étaient mâles et ils ne pouvaient se reproduire.
L’alehim " ieve " ayant établi son domaine dans le pays de " heden " qui désigne une contrée de cette planète, il y plaça ces " hommes " dans ce domaine afin d’en faire ses domestiques. Il leur interdit de manger les fruits d’un certain arbre planté au centre de son jardin en les menaçant de mort s’ils ne respectaient pas les ordres (beraschit II,5 à 17). Ces hommes habitués à vivre parmi les animaux leurs donnèrent des noms afin de les distinguer les uns des autres. C’est ainsi qu’il s’aperçut que ces " mâles " n’avaient pas de compagnes, donc pas de possibilité de se reproduire, " ieve " ne leur ayant pas fabriqué de " femelles " (béraschit II,18 à 20). Alors par une intervention chirurgicale, " ieve " préleva un " morceau de semence " sur l’homme et par culture, en intervenant sur les chromosomes, il reconstitua un Etre dont il fit " asche " - homesse – qui est traduit par " femme " (béraschit II,21 à 23).
REMARQUE – Il existe deux chromosomes, l’un mâle " XY " et l’autre femelle " XX "… Le chromosome mâle peut se définir ainsi ; Y –> mâle + X –> femelle et le chromosome femelle peut se définir : X ->femelle + X ->femelle.
Les spermatozoïdes mâles sont bisexués et les ovules femelles sont monosexués. Si l’on coupe en deux parties les spermatozoïdes, on obtient un " androsperme " = Y et un " gymnosperme " = X. Un milieu alcalin est favorable au développement des androspermes - Y et un milieu acide est favorable au développement des gymnospermes – X. Ces travaux ont été confirmés par le Docteur Landrun B. Shettles, " Science et Vie ", septembre 1970, n° 636 . La préparation d’un gymnosperme – X à partir des spermatozoïdes fut effectuée en utilisant une solution acidifiée et ensuite, il suffit de la placer dans un milieu nutritif constitué par un liquide amniotique synthétique tiré de " earetz " (la Terre).
Il advint donc qu’un " aléha " découvrit cette humanité secondaire et s’étonna de la voir ainsi sous-développée. Cet " aléha " venait d’une autre planète puisqu’il était en " Vimhna " - traduit " serpent " dans le texte – et vous n’êtes pas sans ignorer que ce symbole signifie le mode de transport " Vimhna " de même qu’il désigne aussi le chef de l’expédition. Je tiens à préciser que les religions ont donné le nom de " Lucifer " à ce prétendu " serpent " mais dans le texte hébreu original ce nom ne figure pas dans les 50 premiers chapitres du " béraschit ". Il s’agit donc, là encore, d’une invention… Après avoir posé quelques questions à " asche " - la femme – au sujet des fruits du domaine " ieve ", celle-ci répondit qu’ils pouvaient manger des fruits de tous les arbres sauf celui qui était planté au centre de la propriété, " ieve " leur ayant déclaré qu’ils mourraient s’ils en mangeaient.
C’est alors que le visiteur, " l’aléha ", comprit la tromperie dont été capable " ieve ". Mais cet " aléha " connaissait lui aussi les propriétés de ce fruit provenant de cet arbre et il avez assez d’influence pour répondre à " ashe " : non, vous ne mourrez pas, mais les " aléhim " (ce terme s’appliquant ici à " ieve ", sa femme et leur seul compagnon) savent que lorsque vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme les " aléhim ", vous connaîtrez le bien et le mal (béraschit III, 1à 5).
Ayant compris " ashe " cueillit et mangea des fruits de cet arbre. Elle reconnut qu’ils étaient précieux pour l’intelligence, elle en donna à "ha-adam " et tous deux comprirent qu’ils étaient nus (sous-développés – à l’échelle animale). Le premier mouvement de " adam-va-aschetu " (l’homme et sa femme) fut un réflexe de pudeur et ils se couvrirent avec des feuilles de figuier (béraschit II, 6 à 7)
REMARQUE – les fruits de l’arbre de la science ont la faculté de réveiller la mémoire transcendante existante à l’état latent chez l’homme, en particulier chez ces Etres qui étaient fabriqués à partir du "ha-adam", sous produit artificiel des " alehim ", possédant les caractéristiques génétiques de ceux-ci qui étaient la source primordiale de la création. Le mot arbre est aussi employé pour désigner un enseignement dont les branches sont divers disciplines. Ainsi la faculté est une branche. Le fait que le clan "adam" soit initié et instruit était contraire au désir de soumission de "ieve" qui ne voulait pas que ses serviteurs puissent apprendre et connaître les choses qu’il voulait garder pour lui seul, par orgueil. C’est aussi pourquoi il est écrit que "adam-va-aschetu" - l’homme et sa femme) étaient nus (béraschit II,25) aujourd’hui on dirait sans bagage intellectuel.
Cette précision dans le texte hébreu, d’avoir reconnu que les fruits étaient précieux pour l’intelligence, confirme en tous points que cet arbre donnait un fruit psylocibe réveillant la mémoire transcendante des "adam-va-aschetu" (l’homme et sa femme) et c’est là le prétendu péché originel qui n’est autre que le refus de servir "ieve", le refus d’être traités comme des animaux et la volonté de savoir, de connaître, de s’instruire…
" Ieve alehim " - iéve (de l’équipe) des alehim – inspectait son domaine du coté où se levait le soleil sur cette planète là…"adam-va-aschetu" (l’homme et sa femme) se cachèrent de " ieve alehim ". Il appela " adam " et lui demanda où il était. Ce dernier lui répondit qu’il s’était caché en entendant sa voix parce qu’il était nu. Alors " ieve "compris que " adam " avait mangé du fruit de l’arbre. Il sut que " asche " en avait mangé et que c’est elle qui en avait donné à " adam ". Il apprit aussi par " asche " que c’était le serpent (" l’aléha " conduisant le " Vimhna ") qui lui avait dit d’en manger (béraschit III,8,13).
REMARQUE – " ieve " dont nous avons fait Jéhovah, Dieu le Père tout puissant, omniprésent, omniscient, a besoin de poser des questions à ses créatures pour savoir que celles-ci lui ont désobéi. Ici, on a la preuve de sa duperie et de plus, ni " adam " ni " asche " sont morts comme il les avait menacés, mais ils sont devenus des êtres doués d’intelligence.
" Ieve " s’emporta et fit une colère comme un homme vulgaire maudissant " l’aléha " venu en " Vimhna " (probablement l’un des cinq compagnons fidèles à Gilgamesh), maudissant la femme qui avait mangé du fruit, lui promettant les douleurs de l’enfantement, maudissant l’homme parce qu’il avait écouté sa compagne et mangé du fruit psycocibe. Il maudit l’endroit sur lequel se passaient ces évènements, promettant à " adam " qu’il mangerait son pain à la sueur de son front…
Quand ont lit véritablement le texte original, on a beaucoup de peine à croire que l’on a pu faire de ce personnage un dieu bon, compatissant et paternel…
A ce moment, " adam " donna pour nom personnel à " aschetu " (sa femme) celui de " heve " et lui dit qu’elle serait la mère de tous les " hevin " ( pluriel du mot " heva ") dans le sens de " tous les vivants " tant il croyait qu’ils étaient seuls sur cette planète. " ieve " de l’équipe des " aléhim " fit pour " adam " et sa compagne des tuniques de peau (béraschit III,20,21).
REMARQUE – Comment peut-on imaginer un dieu préparant pour ses créatures des peaux d’animaux pour en faire des tuniques alors qu’il lui serait facile de créer par sa simple volonté un costume décent car enfin, un dieu susceptible d’avoir créé l’Univers et tout ce qu’il renferme devrait être capable de faire un habit et même sans sacrifier un animal pour cela.
" Ieve " de l’équipe des " alehim " dit : voici " adam " et " heve " devenus semblables à nous, et ils peuvent aussi manger du fruit de l’arbre de vie, ils ne mourraient jamais ( à l’échelle de ses créatures ayant des chromosomes "d’alehim"), ils sembleraient éternels. " Ieve " (de l’équipe des " alehim ") renvoya les " adam " de son domaine " heden " (béraschit III,23,23).
Contrairement à ce que disent certains traducteurs, dans le verset 24 du chapitre III du béraschit, il n’est pas mentionné qu’il plaça à l’orient du jardin, mais seulement qu’il plaça devant le jardin des chérubins. De " kérouvin " en chaldéen signifiant " taureaux volants " soit des " Vimhna " - où les occupants de ceux-ci en provenance de la constellation du taureau – avec une lame d’épée flamboyante pour garder les abords de l’arbre de vie (béraschit III,24).
REMARQUE – Cette appellation de " taureau ailés " désigne la constellation du Taureau et confirme que cette sous race " adam-va-aschetu " a été créée hors de notre planète " erretz " ou Géona, Terre… Le " heden " ou domaine de cet " aleha " (dissident du groupe de Gilgamesh) devait donc être situé dans la constellation du Taureau, sur une planète de cette constellation et non, comme cela a été improprement traduit sur Terre ou sur Nergal (Mars). Cette image de " lame d’épée flamboyante " désigne probablement une ceinture de Vimhna armés pour défendre son domaine de "heden" contre une revanche de ceux qu’il expulsait et de " l’aleha " qui avait commencé de l’instruire. Cette expulsion ne concernait pas seulement le domaine de " heden " mais toute cette planète où avaient été créés " adam-va-asche ". Il est donc inutile de rechercher les traces de cet " heden " sur notre planète Terre, et ce que certains ont découvert dans le bassin méditerranéen actuel ou en Afrique n’a absolument rien à voir avec le " heden " véritable. Seulement, par la suite, " ieve " revint souvent sur Géona où avaient été déportés " adam-va-aschetu " afin de diriger lui-même le petit peuple qu’il avait fabriqué et c’est ce que nous verrons dans les chapitres suivants du " béraschit ".
" adam et heve " eurent un premier enfant " quaïn " (avec un Q –qoph – dans le texte original et non un C). Ensuite ils eurent " avel " qui devint par la suite pasteur tandis que " quaïn " cultivait le sol (béraschit IV,1 et 2). Quelques temps plus tard, " quaïn " offrit à " ieve " des produits de son sol et de son coté " avel " lui offrit des premiers nés de son bétail " ieve " fut très favorable à " avel " et il n’apprécia pas l’offrande de " quaïn " qui en conçut une grande peine et sa face devint triste (béraschit IV,3 et 5).
REMARQUE – Ces quelques versets nous indiquent clairement que " ieve " préférait la viande aux légumes et aux fruits, il n’était pas végétarien.
" Ieve " demanda à " quaïn " pourquoi il avait de la peine et il l’exhorta à se lever et à dominer ses sentiments de jalousie. Cependant " quaïn " parla à " avel " et comme ils étaient aux champs, il tua son frère " avel " (béraschit IV,6 à 8).
" Ieve " reproche à " quaïn " d’avoir tué son frère, il le maudit et le proscrit de la communauté " adam " (béraschit IV,9 à 13). Au verset 14 du même chapitre IV, " quaïn " dit : je vais errer et fuir par le monde mais le premier qui me trouvera me tuera. Au verset 15, " ieve " déclare… Aussi quiconque tuera " quaïn " sera puni au septuple et il le marqua d’un signe afin que personne ne puisse le rencontrer et le frapper.
REMARQUE – " Adam " et " asche " n’étaient pas un seul homme et une seule femme mais deux tribus, deux clans car le texte hébreux original mentionne par deux fois, qu’il y a d’autres personnes sur " Géona ", la Terre (béraschit IV,14,15). Ces clans ont fusionné pour former une race.
" Qaïn " se retira de devant " ieve " et alla s’installer dans le pays de " nod " à l’orient, de " heden ". (béraschit IV,16). Là " qaïn " eut un fils, " Enok " et il bâtit une ville qu’il nomma du nom de son fils. (béraschit IV,17)
REMARQUE – Précédemment, je vous ai dit que " heden " n’était pas sur notre planète. Donc, l’expression – à l’orient de " heden " me suggère deux idées :
D’après certains auteurs sérieux, c’est vers –8500 qu’apparurent les premiers agriculteurs sur ce continent. Cela correspondrait donc au temps où " ieve " retira " adam " de " heden " pour l’installer à cultiver le sol d’où il avait été tiré. Ici il faut comprendre " le sol des minéraux " composant le corps matériel les êtres humains du clan " adam ", minéraux qui avaient servi à réaliser l’expérience de génération, soit le liquide amniotique de synthèse pour sa gestation.
Il faut noter ici que la bible ne mentionne pas la totalité de l’Histoire des différentes humanités venues sur notre planète en ce temps là. Par exemple il n’est pas fait mention des continents préhistoriques, ni des différents cataclysmes qui ont eu lieu en différents endroits sur la Terre. Pour combler cette lacune, il faut se reporter aux autres livres dits " sacrés " tels que le Popol Vuh des Mayas, les Védas en sanscrit, le livre des morts tibétain et egyptien en hiéroglyphes pharaoniques, le Enuma Elish en sumérien….
Ceci dit, je reviens à la bible, aux versets 18 à 23 du 4ème chapitre du " béraschit ". il y figure la liste des descendants de " quïn " jusqu’à " lamek " avec un k, (" kaf ") final dans le texte original et non un C, qui eut plusieurs femmes. Ensuite on part de la naissance de " schêt " de la racine hébraïque " shâth " signifiant " soulager " - parce que " adam " et " heve " étaient soulagés d’avoir un autre fils (troisième fils de " adam "), puis la naissance de " anosch ", fils de " schêt " (béraschit, 21 à 26). Les trente versets du cinquième chapitre du " béraschit " sont entièrement consacrés au résumé de la création par l’équipe des " alehim " et de la tribu des " adam vaéaschetu ", lesquels furent " créés " (" béram " au pluriel), et à la nomenclature de la descendance de " adam " jusqu’à " noah " noé et de ses trois fils : " schem ", " ham " et " iaphet ". Je vous fais remarquer que partant de " ha-adam " créé par (l’équipe des) des " elohim " (de Gilgamesh), il ne figure dans aucun chapitre du " béraschit ", leurs filiations nominatives. Partant de " adam vaèaschetu " créés par " ieve " leurs descendants sont nominativement désignés :
" adam va-heve " - 2) " avel "……………..
1)" quaîn ", " énok ", " hirad ", " mêhouïael ", " metouschael ", " lamek " qui eut : " iaval ", " iuval ", " tubal –quaïn " et " nahama " leur sœur.
3)" schêt ", " anosch ", " quinan ", " mahalalaal ", " ired ", " enok ", " schcem ", " ham " et " iaphet ".
Au sujet de " enok ", de la lignée de " schêt ", celui-ci était un hyperboréen.
De même pour " noah " celui-ci n’était pas le fils de " lamek " mais seulement le fils de sa femme, " bat-ênosch " et d’un " vene-at eschamaïm " (fils des cieux – voir les documents de la mer morte découverts ces dernières années et plus particulièrement le " rouleau de lamek ". " Bat-ênosch " signifie " fille de ênosch " - " ênosch " était d’une autre tribu étrangère à celle de " quaïn " et de " schêt ").
J’en conclu que vu le manque de " aschim " (femme) au début de ces générations, le petit peuple créé par " ieve " dût s’allier avec d’autres tribus déjà arrivées avant eux sur notre planète.
Dans ce cas, ce peuple de " ieve " dût être rapidement absorbé par les autres peuples voisins. Nous verrons ensembles, par la suite, que cette idée est bonne… Maintenant, lorsqu’on parle des " alehim " il faudra comprendre l’équipe de " ieve " et de sa femme, avec leur compagnon mais non celle de Gilgamesh et ses compagnons…
Quand l’humanité fut développée et que des filles leur furent nées, les " veni-alehim " (fils de " alehim ") trouvèrent que les filles de l’homme étaient belles et ils prirent pour femme toutes celles qui leur plurent. " ieve " dit que son esprit (sa volonté) n’animera plus l’homme pendant une longue durée de temps car il est devenu animal. Les " nephilim " (avec ph " phé " dans le texte original hébreu et non un f) firent leur apparition sur " earetz " (Géona – Terre) en ce temps et aussi depuis les " veni-alehim " (fils des " alehim ") s’unirent aux filles des hommes et elles leur donnèrent des enfants (béraschit VI,1,2). " ieve " fut mécontent de ces unions qu’il considérait comme des méfaits et il décida de détruire l’humanité qu’il avait créé jusqu’aux animaux et aux oiseaux (béraschit VI, 5 à 7).
REMARQUE – le cataclysme était prévu par la fonte des glaciers d’une partie de l’hémisphère boréal, ainsi que l’effondrement de plusieurs parties de continents devant produire des inondations et certaines contrées devant se trouver recouvertes par les eaux… " ieve " en profita auprès de ses créatures en les transportant dans ces régions là et il n’hésita même pas à sacrifier ses propres petits enfants, les " nephilim " ou " fils ses fils "…
Seul " noah " trouva grâce aux yeux de " ieve " (béraschit VI, 8). Mais " noah " était un " nephilim " probablement de la lignée de Gilgamesh par son père. Aussi " ieve " pouvait-il craindre certaines représailles de la par de Gilgamesh surtout que " lamek " avait été prévenu de ce cataclysme par " mathuschalê " et on savait que " noah " devait être sauvé de ce cataclysme grâce à la construction d’un " tevah " (récipient traduit improprement par - arche - alors qu’il s’agit d’un récipient clos que l’on pourrait comparer à une capsule sous-marine). On comprend ici que " ieve " se trouve complètement dépassé par les évènements. Il vient sur Terre, s’en va, revient, donne des ordres qui sont suivis immédiatement de contre ordres, il veut tout détruire, et finalement servi par un cataclysme naturel, mais il se trouve forcé de laisser la vie à un fils " d’aleha " " noah ", puisque grâce à la construction de sa capsule (" tevah ") " noah " sera sauvé du cataclysme ainsi que toute sa famille… Déjà là, on peut voir que toutes les tribus créées par " ieve " (les tribus " d’adam ") ont été détruites par les eaux sauf ce fils " d’aleha " (et non un fils " d’adam " ou " vene-adam ") marié à une " asche " de la tribu " adam " qui lui avait donné des enfants. Le mot déluge n’est pas mentionné mais " hamaïm vat –earetz ", signifiant " les eaux de la terre " (béraschit VI, 17 et VII, 6 à 11).
Après la fonte des glaces, les eaux se retirèrent peu à peu et le " tevah " (capsule) avanca vers le rivage où il accosta. " noah " lâcha alors une colombe qui revint en tenant dans son bec une feuille d‘olivier, (béraschit VIII, 11).
REMARQUE – Comment un colombe aurait-elle pu recueillir une feuille d’olivier alors que toute la surface de la planète aurait été transformée en marécage ?… Même s’il avait eu depuis l’inondation quelques surfaces sèches, l’olivier n’aurait pas poussé et n’aurait pas été en mesure de fournir des feuilles… Cela prouve donc clairement que l’inondation n’était que locale et non pas à l’échelle de toute la Terre. Il devait donc se trouver des oliviers dans la partie qui n’a pas subi l’inondation et c’est vers ces rivages que le " tevah " de " noah " est allé accoster.
" noah " écarta le plafond du " tevah ", (béraschit VIII, 13). " aléhim al-noah " (béraschir VIII, 15 à 17) – (l’équipe des " alehim " donne des instructions à " noah ")… Que votre ascendant et votre terreur soient sur tous les animaux de la terre ( beraschit IX, 2)… " ieve " autorise à manger tout ce qui ce meut, (beraschit IX, 11), puis : j’ai placé mon " keschet " (arc pour lancer des flêches) dans la nuée (béraschit IX, 13,14)…
REMARQUE – Pour donner ces instructions " ieve " était accompagné de sa femme et de leur compagnon (tous trois dissidents du groupe Gilgamesh) soit la TRINITÉ première. On remarque là que " ieve " n’est pas un dieu bon mais un tyran qui maintient son prestige par la crainte. Il n’est pas végétarien et il autorise ses créatures à manger " tout ce qui se meut "… Il dit qu’il n’y aura plus d’innondation sur terre et pourtant il y en eut beaucoup d’autres dans d’autres contrées de la planète mais celles-ci ont été ignorés de " ieve " et des tribus " adam ". Orgueilleusement " ieve " fait croire à ses créatures que c’est lui qui a placé les constellations dans le ciel quand il parle de son " keschet "… Il ne s’agit certainement pas là d’un arc en ciel comme cela a été improprement traduit car on n’a jamais vu un arc en ciel lançant des flèches mais il s’agit là d’une arme très dangereuse à longue portée, spatiale et temporelle… Contrairement à ce que pense un auteur, le " keschet " de " ieve " n’est pas caché sur la lune afin d’y être trouvé à l’heure cosmique du Verseau. Le " keschet " dont parle " ieve " se trouve dans la constellation du Sagittaire devant être le lieu de résidence de " ieve " ou plus exactement sur l’une des planètes de cette constellation…
Je vous fais remarquer que pour effectuer la fabrication de ses " adam " afin de les mettre dans son domaine en " heden ", il avait choisi un lieu assez éloigné de sa propre constellation, puisque le " heden " devait être dans la constellation du Taureau. Précédemment , je vous ai signalé que " ieve " était un " aleha ", un de ceux du dehors, et en voici la preuve : " ieve " " aleha " de schem (béraschit IX, 26) au lieu de la mauvaise traduction : " l’éternel, divinité de schem ".
Le chapitre X du " béraschit " est entièrement consacré à la filiation des descendants de " noah ", seulement il faut remarquer que les colonies des peuples se formèrent " chacun selon sa langue " (béraschit X, 5, 20 et 31) alors que le verset I du chapitre XI nous précise que " la même langue et les mêmes paroles étaient sur toute la Terre "… Il ne faut pas croire qu’il y a là une erreur, mais le XI –ième chapitre du " béraschit " reprend l’histoire avant la dispersion de toutes les tribus, avant la construction de " magural-h-bavel " (la tour de Babel ) (béraschit XI, 4 à 9), ayant donné le mot de " dzigurath " qui à la même signification en chaldéen soit : " pyramide à étages ", que l’on retrouve encore dans ce pays et également chez les Mayas. Un temps très long s’est écoulé pour que les sept étages de cette tour astronomique soient construits et que furent préparées les installations devant permettre l’envoi d’un engin spatial sur " Lilith " (3ème satellite de la Terre situé à cette époque à 84 000 yodsha’na). Cette construction avait été effectuée grâce aux documents laissés par " noag " à ses enfants, lequel les tenait de son père qui était (ne l’oublions pas) un " aleha ", donc là encore " un de ceux du dehors "…
Pendant ce temps, le nombre des " adam " allait croissant et ils ne pouvaient plus séjourner dans la même ville de " bavel ". Ils s’en éloignèrent et leur langage fut " balal " modifié), mot qui semble être de même origine, de même racine que " bavel ". La fin de ce chapitre nous rapporte la filiation de schem " juaqu’à " avram " (béraschit XI, 10 à 32). " ieve " ordonna à " avram " (Abraham) de quitter son pays de " aour kasdim " (lumières sacrées) pour aller dans un autre pays.
Celui-ci partit en emmenant sa femme " scharaï ", son neveu " loth " avec tous les gens qui étaient à leur service et " ieve " les conduisit vers " bit-al ". Là " avram " éleva un autel à " ieve " qu’il considérait pour la première comme un dieu, puis de là, ils se dirigèrent vers le midi (béraschit XII, 2 à 9), puis ensuite en Egypte car là où séjournait " avram " il y avait une famine (béraschit XII, 10). En arrivant en Egypte " avram " conseilla à sa femme " scharaï " de dire qu‘elle était sa sœur et non son épouse afin qui lui, " avram " soit heureux à cause d’elle (béraschit XII, 11 à 13).
C’est ce qui arriva et après qu’elle fut connue des officiers, Pharaon l’enleva pour son palais et en fit sa concubine. Alors à cause d’elle, " avram " (Abraham) fut bien traité et reçut en échange du petit et du gros bétail, des esclaves, des ânesses et des chameaux (béraschit XII, 14 à 16). " ieve " dit à Pharaon que " scharaï " avait une maladie, qu’elle l’avait donné à tous les gens et qu’elle était la femme de " avram " (béraschit XII, 17). Pharaon dit à " avram " qu’il l’avait trompé au sujet de sa femme, l’ayant fait passer pour sa sœur, Pharaon le fit reconduire sous escorte avec sa femme et tous ses gens avec tout ce qui lui avait été donné (béraschit XII, 18 à 20)… " avram " quitta l’Egypte avec sa femme et tous ses gens, ainsi que " loth " et il alla vers le midi. " avram " était puissant et riche en bétail, en argent et en or. Il revint à " bit-al " et là il glorifia le nom de " ieve " (béraschit XIII,1 à 4).
REMARQUE - Il ne semble pas nécessaire de vous commenter les agissements de " avram " et de sa femme " scharaï " témoignant d’une très basse moralié.
" loth " qui accompagnait " avram " dans tous ses déplacements en avait lui aussi profité et il possédait du bétail et des tentes, mais la contrée de " bit-al) était trop pauvre pour faire vivre les deux tribus, surtout que cette contrée était déjà occupée par les " kananéens " et les " peredzeï " (béraschit XIII, 5 à 7). " avram " ne voulait pas de querelles entre les membres de sa tribu et celle de " loth " qu’il considérait comme son " rehak " (parent) (béraschit XIII, 8). Il lui indiqua la contrée devant lui, lui disant que s’il allait à droite, lui " avram " irait à gauche et que s’il allait à gauche, lui " avram " irait à droite. " loth " considéra la plaine de " hirdan " (Jourdain) jusqu’à " thohar " (çoar) avant que " ieve " eut détruit " sodome " et " homore " (gomorrhe) (béraschit XIII, 9, 10).
" avram " resta dans le pays de " kanahan " et " loth " choisit la plaine de " hirdan " jusqu’à " sodome " (béraschit XIII, 11, 12).
" sodome réhim " (leurs parents cousins) qui étaient à " sodome " étaient vicieux pour " ieve " et ce dernier promit toute la contrée à " avram " en lui disant que sa race serait plus nombreuse que la poussière de " earetz " (Géona, Terre). " avram " s’établit dans la contrée de " mamre " (mambre) situé en " hevron " et il éleva un hautel à " ieve " (béraschit XIII, 13 à 16).
Les chapitres XIV et XV du " béraschit " sont entièrement consacrés aux guerres que se firent les chefs de toutes les tribus de la région et la lutte menée par " avram " pour libérer " loth " qui était établi à " sodome ". Ensuite, ils partagèrent le butin. Cependant " scharaï " était considéré comme stérile et elle donna son esclave " egar " à " avram " afin qu’il l’a pris comme concubine. Et voici qu’elle conçut de lui et elle méprisa " scharaï " (béraschit XVI, 1 à 4)… " sharaï " se plaignit à " avram ", et ce dernier renia " egar " et l’enfant qu’elle portait de lui. Celle-ci s’enfuit (béraschit XVI, 5, 6). Un " malak ieve " (envoyé de " ieve " ou messager traduit en grec par " angel " signifiant ange) la rencontra près d’une source d’eau sur le chemin de " schour " (béraschit XVI, 7)… Ayant appris d’elle ce qu’il lui arrivait, il lui dit de retourner chez " sharaï " et il indiqua que l’enfant qui allait naître devrait s’appeler " ismhaal " non venant des mots " sama ieve " signifiant que " ieve " avait entendu sa détresse (béraschit XVI,8 à 11). " egar " revint vers " avram " et elle lui donna un fils que " avram " appela " ismhaal ". " avram " avait quatre vingt six ans quand " agar " enfanta " ismhaal " (béraschit XVI, 15 ,16).
" avram " avait quatre vingt dix neuf ans quand " ieve " vint près de lui et lui dit : obéis " ani-al " (à moi ) et je te multiplierai à l’infini. " avram " tomba sur la face et " ieve " lui parla : tu seras père d’une multitude. Maintenant ton nom n’est plus " avram ", ton nom sera " avraam " - de la racine " ab-amon " signifiant " multitude " (béraschit XVII, 1 à 6). Parlant au nom de son équipe des " alehim " (il s’agit là de l’équipe de " ieve ", ceux dissidents de l’équipe des " alehim " de Gilgamesh) – " ieve " déclara à " avraam " qu’ils seraient pour lui, les " alehim " (béraschit XVII, 7), et (son équipe)et qu’il lui donnera pour lui et sa postérité la contrée de " kanahan " (béraschit XVII, 8). C’est là qu’il indiqua à " avraam " que tous les mâles âgés de huit jours soient circoncis qu’ils soient nés dans la maison " la tribu " ou achetés au prix d’argent parmi les fils des étrangers (béraschit XVIII, 9 à 14).
Ensuite l’équipe des " alehim " dit à " avraam " qu’il ne devra appeler son épouse "sharaï " mais bien " scharah ". Elle sera enceinte de lui et lui donnera un fils (béraschit XVII, 15, 16). " avraam " en doutait et il le dit aux " alehim " mais l’équipe des " alehim " lui répondit : " scharah " ton épouse te donnera un fils, tu le nommera " itzaaq " (issac ). Ceci dit, l’équipe des " alehim " quitta " avraam " (béraschit XVII, 17 à 22). Alors " avraam " fut circoncis ce jour là ainsi que " ismhaal " son fils et tous les gens de sa maison ( les gens de sa tribu) nés chez lui ou achetés à prix d’argent à l’étranger (hors de sa tribu) (béraschit XVII, 23 à 27).
" ieve " revint vers lui dans la plaine de " mamre " pendant qu’il était assis devant sa tente. Il vit venir vers lui trois " adonaïn " (seigneurs en araméen) auxquels il accorda l’hospitalité. Après s’être restaurés, ils confirmèrent à " avraam " que sa femme " scharah " enfanterait (béraschit XVIII, 1 à 15).
REMARQUE – Parmi ces trois personnages se trouvait " ieve " lui-même comme vous le déduirez de la lecture des versets suivants. Notez aussi que les " messagers " sont des hommes tout comme vous et moi, en chair et en os, qui mangent et boivent comme tout le monde, contrairement à ce que peuvent dire certaines religions voulant nous faire croire que les " messagers " (qu’elles appellent des anges) sont de purs esprits asexués… Un concile s’est d’ailleurs réuni à cet effet pour le confirmer. Pourtant, il ne faut pas oublier qu’ils donnèrent des fils aux filles des hommes………………
Les hommes se levèrent et regardèrent en direction de " sodome " et " homore " (béraschit XVIII, 16). " ieve " réfléchissait s’il devait informer " avraam " de ce qu’il avait projeté concernant " sodome " et " homore " (béraschit XVIII, 17 à 21). Les hommes quittèrent ce lieu et " avraam " resta seul en présence de " ieve " (béraschit XVIII, 22). " ieve " veut absolument détruire " sodome " et " homore " et " avraam " tente de le faire revenir sur sa décision (béraschit XVIII, 23 à 32). " ieve " quitta " avraam " quand il eut fini de parler et " avraam " retourna dans sa tente (béraschit XVIII, 33).
REMARQUE – Si " avraam " a tenté de sauver " sodome " c’est parce que son neveu " loth " habitait cette contrée et nous verrons plus loin que " ieve " a pris cette demande en considération.
Les deux envoyés " malakim " (messagers) arrivèrent le soir à " sodome ". " loth " était à la porte et il se leva quand il les vit (béraschit XIX, 1). Ils les invita à passer la luit dans sa maison (ici il ne s’agit pas de tribu en tentes mais d’une véritable maison car " loth " habitait une ville. Ils voulaient coucher sur la voie publique mais dans son insistance ils cédèrent. Il leurs prépara un repas et ils mangèrent (béraschit XIX, 2, 3). Ils n’étaient pas encore couchés que les gens de " sodome " vinrent devant la maison voulant connaître les hommes qui étaient chez lui cette nuit (béraschit XIX, 4 , 5). " loth " sortit de sa maison pour les calmer, il leur proposa de leur amener ses deux filles qui n’avaient pas encore connu d’hommes pour en faire ce que bon leur semblerait, mais les gens ne voulaient pas (béraschit XIX, 6 à 8). Ils ne voulaient rien entendre et ils s’en prirent à " loth " avec violence et avancèrent pour briser la porte. Les deux " malakim " (messagers) étendirent la main, firent rentrer " loth " et refermèrent la porte. Ils frappèrent d’éblouissement les hommes qui assiégeaient l’entrée de la maison, petits et grands qui ne trouvèrent plus l’entrée (béraschit XIX, 9 à 11). Les voyageurs dirent à " loth ", ceux des tiens qui sont ici dans ta maison, tes gendres, tes fils, tes filles, tout ce qui est dans cette ville, fais les sortir de cette ville. Nous allons détruire cette contrée, les cris contre elles sont grands devant " ieve " et " ieve " nous a donné mission de la détruire (béraschit XIX, 12, 13). " loth " sortit et alla parler à ses parents et leur dit venez, abandonnez cette ville car " ieve " va la détruire… Mais pour ses gendres, il fût considéré comme un homme fou (béraschit XIX, 14).
L’aube paraissant, les " malakim " (envoyés, messagers) pressèrent " loth " en lui disant : debout ! emmène ta femme et tes deux filles si tu ne veux point périr pour cette ville. Ils le prirent par la main, lui, sa femme et ses deux filles, " ieve " voulant les sauver et ils les amenèrent en dehors de la ville (béraschit XIX, 15,16). Quand ils furent en dehors de la ville, l’un des deux " malakim " dit à " loth " sauve ta vie, ne regarde pas en arrière, ne t’arrête pas dans toute cette région, fuis vers la montagne de crainte de mourir. " loth " répondit qu’il ne s’arrêterait pas mais qu’il ne pourrait atteindre la montagne et qu’il pourrait se réfugier dans la ville proche (béraschit XIX, 17 à 20). Les " envoyés " acceptèrent mais ils lui dirent de se hâter car ils ne pourraient agir avant qu’il ne soit arrivé dans cette petite ville. Le soleil se levait lorsque " loth " arriva à " tzohar " (béraschit XIX, 21 à 23).
" ieve " fit tomber " eschamaïn " (des cieux) sur " sodome " et " homore " du soufre et du feu. Il détruisit ces villes, toute la plaine, tous les habitants de ces villes et toute la végétation (béraschit XIX, 24, 25). Sa femme s’est retournée et devint une statue de sel (béraschit XIX, 26).
REMARQUE – C’est une image qui ne pouvais être comprise par ces gens ne connaissant pas les effets de la radioactivité tels que vous avez pu les voir lors des explosions atomiques.
Très tôt, " avraam " alla vers l’endroit où il avait été avec " ieve ". il vit ce qu’étaient devenues " sodome " et " homore " et toute la contrée. Il s’élevait une fumée de fournaise de la terre (béraschit XIX, 27, 28) Lorsque l’équipe des " alehim " avait détruit ces villes, elle s’était souvenue de " avraam " et avait épargné " loth ".
" loth " monta de " tzohar ", il demeura dans une caverne, lui et ses deux filles (béraschit XIX, 29, 30). Croyant qu’il n’y avait plus d’hommes dans le monde, les deux filles de " loth " s’entendirent entre elles pour l’enivrer et coucher avec lui chacune à son tour, pour obtenir postérité, ce qui fut fait et elles conçurent de lui. L’ainée eut un fils qu’elle appela " moav ", la seconde eut aussi un fils qu’elle nomma " ben-hami " (béraschit XIX, 31 à 36).
" avraam " quitta le lieu où était pour aller vers le midi entre " qades " et " shcour "… " avraam " disait de sa femme " scharah " qu’elle était sa sœur et " avimelek " chef de " gerara " envoya prendre " scharah " (béraschit XX, 1, 2). Là encore se déroule la même histoire qu’avec Pharaon et dépendant " avraam " précise que " scharah " est la fille de son père et non la fille de sa mère et qu’il la prise pour épouse (béraschit XX, 3 à 12). Or, lorsque " alehim " (les dieux dans la traduction de Zadoc Kahn) me firent errer loin de la maison de mon père je lui dis : voici, dans tous les lieux où nous irons, dis que je suis ton frère (béraschit XX, 13).
REMARQUE – C’est ici la seule traduction correcte du mot " alehim " (les dieux) qui remettait en question " Ceux du Dehors "… C’est doute pourquoi il fut ajouté : c’est à les idoles et l’idolâtrie pratiqué par " Thare "…
Après avoir reçu des pièces de menu bétail et de gros bétail, des esclaves mâles et femelles , mille pièces d’argent et que " scharah " lui fut revenue, " avraam " demanda à l’équipe des " alehim " de guérir " avimelek ", sa femme et ses servantes qui ne pouvaient enfanter à cause de " scharah " épouse de " avraam " (béraschit XX, 14 à 18).
Le 21ème chapitre du " béraschit " raconte l’histoire de la naissance de " itzahq " fils de " scharah " et l’histoire de " scharah " et " avraam " qui chassèrent l’esclave " egar " qui avait donné un fils " ismahaal " à " avraam ". Elle s’enfuit dans le désert de " baesavetz " et enfin dans le désert de " param " où " egar " donna une femme du pays d’Egypte à son fils " ismahaal ". Dans ce chapitre on relate la querelle entre " avimelek " et " avraam " au sujet d’un puit. " avraam " habita encore longtemps le pays des philistins.
Le 22ème chapitre du même livre nous raconte le sacrifice de " avraam " qui, selon les instructions de " ieve " devait lui offrir son fils " itzahq " en holocauste, sur la montagne de " moriha ". Au dernier instant, au moment où " avraam " devait l’égorger pour le brûler ensuite, " ieve " l’arrêta et " avraam " prit un bélier pour remplacer son fils sur le bûcher. L’endroit fut nommé " ieve iraha "…. C’est à dire " ieve " pourvoira et non pas " adonaï yire " signifiant le " seigneur " donc encore là, mal traduit. A la fin de ce même chapitre " avraam " reçoit des nouvelles de sa famille. " scharah " mourut à l ‘âge de 127 ans à " qirit arbha " et " avraam " y vont pour la placer dans un tombeau situé dans un champ qu’il acheta aux enfants de " hêt " dans le pays de " kanahan " (béraschit XXIII, 1 à 20).
" avraam " était vieux et il fit jurer son plus ancien serviteur sur " ieve " " aleha eschamaïm va-aleha earetz " (" ieve aleha " des cieux et de la terre), de ne pas choisir pour son fils " itzahq " une épouse parmi les filles des kanaéens où il habitait mais d’aller la chercher dans son pays natal (béraschit XXIV, 1 à 4). La suite de ce 24ième chapitre est consacré à la recherche d’une épouse pour " itzahq " et celle-ci fut trouvée et ramenée dans le pays de " kanahan ". C’est ainsi que " itzahq " la reçut et il la conduisit dans la tente occupée autrefois par sa mère…. Il prit " reveqa " pour femme (béraschit XXIV, 5 à 65).
REMARQUE – Dans tout ce chapitre comme nous l’avons signalé plus haut, la mention " ieve-aleha " est au singulier mais toujours improprement traduit par " l’éternel dieu "………….
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