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Dans le monde au cours des siècles passés, on a beaucoup écrit au sujet de la religion, de sa signification, de sa pertinence et de sa contribution à l'humanité. En Europe occidentale en particulier, de nombreux volumes ont été composés qui spéculent sur la nature et l'historicité du personnage principal des religions occidentales, Jésus-Christ. Beaucoup de gens ont essayé de creuser dans les rares indices restants relatifs à l'identité de Jésus et de proposer un croquis biographique qui soit soutient la foi, ou alors révèle le côté plus humain de cet homme-dieu qui nous est si proche. Évidemment, vu le temps et l'énergie dépensés à leur sujet, le christianisme et son fondateur légendaire sont très importants pour l'esprit et la culture occidentaux.
En dépit de toute cette littérature produite sans interruption et de l'importance du sujet, il y a chez le public un sérieux manque d'éducation formelle et étendue concernant la religion et la mythologie, et la plupart des individus sont terriblement mal informés à ce sujet. En ce qui concerne le christianisme, par exemple, on enseigne à la majorité des personnes, dans la plupart des écoles et églises que Jésus-Christ était une figure historique et réelle, et que la seule polémique le concernant est que certains le perçoivent en tant que fils de Dieu et Messie, alors que d'autres non. Cependant, bien que ce soit le débat le plus évident dans ce domaine aujourd'hui, il n'est pas le plus important. Aussi choquant que cela puisse paraître à l'homme de la rue, la polémique la plus profonde et durable à ce sujet est de savoir si un individu appelé Jésus-Christ a réellement existé.
Bien que cette controverse puisse ne pas être évidente au vu des publications habituellement disponibles dans les librairies populaires(1), quand on examine cette question de manière plus approfondie, on trouve un énorme volume de littérature qui démontre à maintes reprises, logiquement et intelligemment, que Jésus-Christ est un personnage mythologique au même titre que les hommes-dieux grecs, romains, égyptiens, sumériens, phéniciens ou indiens, qui sont tous actuellement perçus comme des mythes plutôt que comme des personnages historiques (2). En fouillant plus avant dans cette grande quantité de documents, on peut découvrir les preuves que le personnage de Jésus est basé sur des mythes et des héros beaucoup plus anciens du monde antique. On s'aperçoit alors que cette histoire n'est pas une représentation historique d'un charpentier rebelle juif qui s'incarna physiquement dans le Levant il y a 2.000 ans. Autrement dit, on a démontré continuellement pendant des siècles que le personnage de Jésus-Christ, a été inventé et ne dépeint pas une vraie personne qui soit aurait été le fils de Dieu, ou qui aurait ensuite été transformée en un surhomme par ses disciples enthousiastes (3).
Cette polémique a existé dès le début, et les écrits des "Pères de l'église" eux-mêmes indiquent qu'ils ont constamment été forcés par l'intelligentsia "païenne" à défendre ce que les non-chrétiens considéraient comme une fable absurde et fabriquée sans aucune preuve d'existence historique. Comme le signale le rév. Taylor : De façon ininterrompue depuis les temps apostoliques, mais jamais de façon si forte et emphatique que lors des tout débuts, l'existence du Christ en temps que personne fut vigoureseument niée. L'empereur Julien, qui succéda au "bon chrétien" Contantin, un fanatique meurtrier, réautorisa les cultes paiens, et affirma : Si quelqu'un veut savoir la vérité en ce qui vous concerne, Chrétiens, il saura que votre impiété est partiellement constituée de l'audace juive, et aussi de l'indifférence et du sens de la confusion des Gentils, et que vous avez mélangé non pas leurs meilleures, mais leurs pires caractéristiques. Selon ces dissidents, le nouveau testament aurait pu correctement s'appeler les "fictions d'Évangile." (4)
Il y a un siècle, le mythologue Albert Churchward a dit : "On peut montrer que les évangiles canoniques sont une collection d'énonciations du Mythos et de l'Eschatologie égyptiens." (5)
Dans La contrefaçon dans le christianisme, Joseph Wheless dit : "Les évangiles sont tous des contrefaçons sacerdotales rédigées plus d'un siècle après leurs prétendues dates." (6) Ceux qui ont inventé certains des évangiles et des épîtres "alternatifs" qui furent écrits approximativement pendant les deux premiers siècles C.E. (7) ont même admis qu'ils avaient forgé les documents. La contrefaçon pendant les premiers siècles de l'existence de l'église était manifestement effrénée, si commune en fait qu'une nouvelle expression a été inventée pour la décrire: "fraude pieuse." (8) Une telle tromperie est fréquemment admise dans L'Encyclopédie Catholique(9). Certains des "grands" pères de l'église, tel Eusebius, ont été reconnus par leurs propres pairs comme étant d'incroyables menteurs qui ont régulièrement écrit leurs propres fictions sur ce que "le seigneur" avait dit et fait pendant "son" séjour allégué sur la Terre (10).
L'affirmation que Jésus-Christ est un mythe peut être démontrée non seulement par les travaux des dissidents et des "païens" qui ont su la vérité - et qui ont été perfidemment réfutés ou assassinés dans leur combat contre les prêtres chrétiens et les "pères de l'église," qui dupaient les masses avec leurs fictions - mais également par les énoncés des chrétiens eux-mêmes, qui révèlent sans interruption qu'ils ont su que le Christ était un mythe fondé sur des dieux plus anciens situés dans tout le monde antique connu. De fait, le pape Léon X, qui connaissait la vérité en raison de son rang élevé, fit cette déclaration curieuse, "Quel bénéfice cette fable du Christ ne nous a-t-elle pas apporté !"(11) (emphase ajoutée.) Comme le dit Wheless : "les preuves à l'appui de ma thèse sont incroyablement faciles à trouver."
De leur propre aveu, les premiers chrétiens étaient incessamment critiqués par d'autres érudits de grande réputation qui furent diffamés en tant que "païens" par leurs adversaires chrétiens. Ce groupe a inclu beaucoup de Gnostiques, qui se sont énergiquement opposés à l'affirmation d'une manifestation physique de leur dieu. On peut montrer que les chrétiens ont emprunté plusieurs des caractéristiques de leur homme-dieu aux Gnostiques, ce qui signifie "Ceux qui savent," une désignation vague s'appliquant à diverses confréries et écoles ésotériques. Les réfutations des chrétiens contre les gnostiques indiquent que l'homme-dieu chrétien était une insulte aux gnostiques, qui soutenaient que leur dieu ne pouvait prendre forme humaine.
Il est frappant de constater que les documents chrétiens les plus anciens, les Epîtres attribués à "Paul," ne discutent jamais de l'historique de Jésus mais traitent exclusivement d'un être spirituel qui était connu à toutes les sectes gnostiques depuis des centaines et des milliers d'années. On peut montrer que les quelques références "historiques" à une vie réelle de Jésus citées dans l'Epître sont des interpolations et des contrefaçons, comme le sont, si l'on en croit Wheless, les épîtres eux-mêmes, qui n'auraient donc pas été écrits par Paul. Comme Edouard Dujardin le précise habilement, la littérature de Paul "ne se rapporte pas à Pilate, ou aux Romains, ou à Caiphe, ou au Sanhédrin, ou à Hérode, ou à Judas, ou aux femmes saintes, ou à aucune personne dans le récit évangélique de la Passion, et ne leur fait jamais aucune allusion; pour finir, elle ne mentionne absolument aucun des événements de la Passion, directement ou par allusion." (12) Dujardin indique encore que d'autres écrits "chrétiens" les plus anciens tels la Révélation ne mentionnent aucun détail ou drame historiques 13. Mangasarien indique que Paul ne cite jamais les prétendus sermonts, prêches, paraboles et prières de Jésus, et qu'il ne fait pas plus mention de sa naissance surnaturelle et de ses prétendus merveilles et miracles, en fait tout ce qui aurait semblé très important pour ses fidèles si de tels exploits et paroles avaient été connu antérieurement à Paul.
Si l'on s'intéresse maintenant aux Evangiles, qui furent écrits vers le milieu du 2° siècle C.E., leurs prétendus auteurs, les apôtres, donnent des récits de Jésus et de sa généalogie qui se contredisent entre elles à plusieurs endroits. Sa naissance et son enfance sont mentionnées chez Marc, et bien que "Matthieu" et "Luc" affirment qu'il est "né d'une vierge," on fait remonter sa lignée de Joseph à la maison de David, de façon à ce qu'il "réponde à la prophétie." Dans les trois Evangiles synoptiques, on indique qu'il a enseigné durant un an avant de mourir, alors que chez "Jean" on parle de trois années. "Matthieu" indique que Jésus a donné le "Sermont de la Montagne" devant "les foules," alors que "Luc" mentionne une conversation privée avec quelques disciples. Les récits de la Passion et de la Résurrection différent totalement les uns des autres, et aucun n'indique à quel âge il est mort. Pour Wheless, "les soit-disant écrits 'canoniques' du Nouveau Testament constituent un texte confus et qui se contredit lui-même, l'estimation présente étant d'au moins 150 000 lectures possibles, ce fait étant connu et admis." De plus, sur les douzaines d'évangiles, certains qui à l'origine étaient considérés comme authentiques ou canoniques furent plus tard rejetés comme apocryphes ou faux, et vice-versa. Cela fait beaucoup pour "l'infaillible Parole de Dieu" et l'Eglise "infaillible!" La confusion est partout présente car au cours des siècles, des chrétiens plagiaires ont essayé d'amalgamer et de fusionner pratiquement tous les mythes, contes de fées, légendes, doctrines ou fragments de sagesse qu'ils pouvaient trouver à partir d'innombrables philosophies et religions à mystère qui existaient à l'époque. Ils ont ainsi contrefait, interpolé, mutilé, changé et réécri ces textes pendant des siècles.
Sources non-bibliques
En fait, il n'y a pas de référence non-biblique au personnage historique de Jésus par aucun des historiens connus de l'époque contemporaine et suivant la prétendue venue du messie. Walker indique qu'aucun écrivain de son temps ne l'a mentionné dans un écrit connu. L'éminent historien juif hélléniste et philosophe Philon (20 B.C.E.- 50 C.E.), vivant à l'époque supposée de Jésus, ne le mentionne pas. Les quelques quarante historiens qui se sont succédés dans les deux premiers siècles ne l'ont pas mentionné davantage." Il reste suffisamment d'écrit de [ces] auteurs . pour former une bibliothèque. Et pourtant dans cette masse de littérature juive et paienne, excepté deux passages contrefaits dans les écrits d'un auteur Juif, plus deux passages controversés dans les ouvres d'écrivains romains, on ne trouve aucune mention de Jésus-Christ." Leur silence constitue un témoignage assourdissant envers les historiens .
Dans toute l'ouvre de l'historien Juif Josèphe, formée de nombreux volumes, il y a seulement deux paragraphes qui prétendent se référer à Jésus. Quoique l'on ait beaucoup dit sur ces "références", elles ont été dénoncées par tous les érudits et même par les apologistes chrétiens comme étant des faux, comme l'ont été celles se référant à Jean le Baptiste et Jacques, "frère" de Jésus. L'évêque Warburton qualifia l'interpolation de Josèphe concernant Jésus de "faux avéré, de plus très stupide." Wheless indique que "la première mention de ce passage, avec son texte, se trouve dans l'Histoire de l'Eglise de cet écrivain très malhonnête qu'était Eusèbe, au quatrième siècle... " CE [Catholic Encyclopedia] admet que le passage mentionné ci-dessus "n'était pas connu d'Origène et des premiers écrivains patristiques." Wheless, un juriste, et Taylor, un ministre, s'accordent à dire qu'Eusèbe lui-même fabriqua le passage.
Si l'on considère la lettre à Trojan supposémment écrite par Pline le Jeune, qui est l'une des si rares "références" à Jésus ou à la Chrétienté exhibé par les Chrétiens comme preuve de l'existence de Jésus, on ne peut lui appliquer qu'un seul mot - "Chrétien" - et on a montré qu'il s'agissait d'un faux, comme est suspectée de l'être la lettre entière. En ce qui concerne le passage dans les travaux de l'historien Tacite, qui n'a pas vécu à l'époque supposée de Jésus mais qui est né 20 ans après sa prétendue mort, il est aussi considéré par les érudits compétents comme étant une interpolation et un faux. Les défenseurs des Chrétiens mettent aussi en avant le passage de Suétone se référant à une personne du nom de "Chrestus" ou "Chrestos" comme une référence à leur Sauveur ; quoiqu'il en soit, alors que certains ont spéculé qu'il y avait un Romain qui s'appelait ainsi à cette époque, le nom Chrestus" ou "Chrestos", qui signifie "utile", était fréquemment porté par des esclaves libérés. D'autres affirment que ce passage est aussi une interpolation.
De ces références, Dujardin dit que "même si elles sont authentiques, et dérivent de sources plus anciennes, elles ne nous ramèneraient pas avant la période lors de laquelle la légende évangélique prit forme, et ainsi ne pourraient attester que la légende de Jésus et non son historicité." Dans tous les cas de figure, ces "références" rares et brèves à un homme qui a supposément bouleversé le monde peuvent difficilement être tenus pour des preuves de son existence, et il est absurde de faire reposer la religion Chrétienne dans son entier sur son authenticité supposée. Comme l'on dit, "les affirmations extraordinaires nécessitent des preuves extraordinaires"; cependant, aucune preuve d'aucune sorte de l'historicité de Jésus n'a jamais existé ou est sur le point de l'être.
Il est évident qu'il n'y avait pas un personnage unique sur laquelle la religion chrétienne s'est fondée, et que ce "Jésus-Christ" est une compilation de légendes, héros, dieux et hommes-dieux. La place manque ici pour entrer dans le détail au sujet de chaque dieu qui a contribué à la formation du personnage de Jésus; qu'il suffise de dire qu'il y a d'abondance de documents pour prouver que ce sujet n'est pas une question de "foi" ou de "croyance." La vérité est que, à l'époque où ce personnage a censément vécu, il y avait une vaste bibliothèque à Alexandrie et un réseau incroyablement souple de confréries qui s'étendait de l'Europe à la Chine ; ce réseau d'information a eu accès à de nombreux manuscrits qui racontaient le même récit que celui du Nouveau Testament, avec des noms de lieu et d'appartenance ethnique différents. Dans la réalité, le récit de la vie de Jésus constitue un parallèle presque identique avec l'histoire de Krishna, par exemple, y compris dans ses détails, comme signalé entre autres par le mythologue et érudit distingué Gérald Massey il y a plus de cent ans, aussi bien que par le révérend Robert Taylor il y a cent soixante ans, entre autres (14). Le conte de Krishna que l'on trouve dans les Védas hindous a été daté à au moins 1400 B.C.E.(15) On peut dire la même chose du mythe d'Horus, qui est presque identique, dans ses détails, à l'histoire de Jésus, mais qui précède la version chrétienne de milliers d'années.
L'histoire de Jésus a incorporé des éléments de récits d'autres dieux enregistrés dans ce vaste territoire, comme par exemple ceux des sauveurs du monde et "fils de Dieu", dont la plupart précèdent le mythe chrétien, et dont un bon nombre furent crucifiés ou exécutés :
Adad d'Assyrie
Adonis, Apollon, Héraclès ("Hercule"), et Zeus en Grèce
Alcides de Thèbes
Attis de Phrygia
Baal de Phénicie
Bali d'Afghanistan
Beddru du Japon
Buddha en Inde
Crite de Chaldée
Deva Tat du Siam
Hésus des druides celtes
Horus, Osiris, et Sérapis d'Egypte, dont l'aspect barbu avec de longs cheveux a été adopté pour le personnage du Christ
Indra au Tibet
Jao au Népal
Krishna en Inde
Mikado des Sintoos
Mithra en Perse
Odin des Scandinaves
Prométhée au Caucase
Quetzalcoatl au Mexique
Salivahana aux Bermudes
Tammuz de Syrie (qui fut, dans un mouvement typique de la fabrication des mythes, plus tard transformé en disciple Thomas(16)
Thor en Gaule
Monarque universel des Sibyles
Wittoba des Bilingonèses
Xamolxis de Thrace
Zarathustra/Zoroastre en Perse
Zoar des Bonzes
Bien que la plupart des personnes pensent que Bouddha fut une personne qui vécut vers 500 B.C.E., on peut également démontrer que le personnage généralement dépeint comme Bouddha est une compilation des hommes-dieux, des légendes et paroles de divers hommes saints avant et après la période attribuée au Bouddha historique.(17)
Le personnage de Bouddha a les points suivants en commun avec le Christ:
Bouddha est né de la Vierge Maya, qui était considérée comme la "Reine du Ciel".
Il était de naissance royale.
Il exécutait des miracles et des merveilles, guérissait les malades, nourrit 500 hommes à partir d'un "petit panier de gâteaux", et marcha sur les eaux.
Il a écrasé la tête d'un serpent.
Il a supprimé l'idolâtrie, était un "semeur de mots", et prêchait "l'établissement d'un royaume de justice".
Il enseigna la chasteté, la douceur, la tolérance, la compassion, l'amour et l'égalité de tous.
Il fut transfiguré sur une montagne.
Sakya Buddha fut crucifié pour expier ses fautes, souffrit durant trois jours en enfer, puis fut ressuscité.
Il est monté au Nirvana ou au "ciel."
Il était considéré comme le "bon berger "(18) , le "Charpentier", "l'Infini et Eternel".
Il fut appelé "le Sauveur du Monde" et "la lumière du Monde".
Les histoires de Jésus et d'Horus sont très semblables, Horus ayant de plus contribué à l'attribution du nom de Jésus-Christ. Horus et son père Osiris sont fréquemment interchangeables dans le mythe ("Moi et mon Père sommes un"). Les légendes relatives à Horus datent de milliers d'années, et il a avec Jésus les points communs suivants:
Horus est né de la vierge Isis-Meri le 25 décembre dans une grotte/crèche, sa naissance étant annoncée par une étoile à l'est et attendue par trois hommes sages.
Il enseignait à des enfants au Temple et fut baptisé à l'âge de trente ans.
Il a eu 12 disciples.
Il effectua des miracles et éleva un homme, El-Azar-us, d'entre les morts.
Il marcha sur l'eau.
Horus fut transfiguré sur la Montagne.
Il a été enterré dans un tombeau et a été ressuscité.
Il était aussi "la Voie, la Vérité, la Lumière, le Messie, le fils oint de Dieu, le Fils de l'Homme, le Bon Berger, l'Agneau de Dieu, le Mot", etc.
Il était "le Pêcheur" et était associé à l'Agneau, au Lion, au Poisson ("Ichthys")
L'épithète personnelle de Horus était "Iusa," "le fils éternel" de "Ptah," le "Père."(19).
Horus s'appelait "le KRST," ou "Oint," longtemps avant que les chrétiens en reprennent l'histoire(20).
En fait, dans les catacombes de Rome, on trouve des images d'Horus représenté comme un bébé tenu par Isis, la vierge mère - la "Madonne et l'enfant" initiaux (21) - et le Vatican lui-même est construit sur la papauté de Mithra, qui a de nombreux points communs avec Jésus et qui a existé longtemps avant que le personnage de Jésus ne soit formalisé. La hiérarchie chrétienne est presque identique à la version de Mithra à laquelle elle s'est substitué (22). Pratiquement tous les éléments du rite catholique, de l'obole à l'ostie et de l'eau bénite à l'autel jusqu'à la doxologie sont directement empruntés à d'anciennes religions à mystères paiennes.
Les similitudes entre le personnage Chrétien et le messie Indien sont nombreuses. En effet, Massey trouve plus de 100 similarités entre les deux, et Graves, qui inclut les divers évangiles non-canoniques dans son analyse, en liste plus de 300. Il est intéressant de remarquer qu'une ancienne écriture usuelle de Krishna en anglais était "Christna", ce qui fait ressortir son rapport avec "Christ". On peut encore noter que, tout comme le messie Juif, beaucoup de gens pensaient que Krishna avait physiquement existé.
Krishna est né de la Vierge Devaki ("La Divine").
Son père était charpentier.
Sa naissance était attendue par des anges, des hommes sages et des bergers, et il se présenta avec de l'or, de l'encens et de la myrrhe.
Il s'appelle Dieu des bergers.
Il fut persécuté par un tyran qui ordonna le meurtre de milliers d'enfants en bas âge.
Il était de naissance royale.
Il fut baptisé dans le Gange.
Il effectua miracles et merveilles.
Il ressuscitait les morts et guérissait les lépreux, les sourds et les aveugles.
Krishna utilisait des paraboles pour enseigner au peuple la charité et l'amour.
"Il vécut pauvre et il aima les pauvres."
Il fut transfiguré devant ses disciples.
Dans certaines traditions, il mourut sur un arbre ou fut crucifié entre deux voleurs.
Il ressuscita d'entre les morts et monta au ciel.
Krishna est appelé "le Dieu-Berger" et le "Seigneur des Seigneurs", et était considéré comme "le rédempteur, le premier-né, le Libérateur, le Mot Universel".
Il est la seconde personne de la trinité et s'est proclamé lui-même "la résurrection" et "la voie vers le Père".
Il était considéré comme "le Début, le Milieu et la Fin" ("alpha et omega"), comme un être omniscient, omniprésent et omnipotent.
Ses disciples lui donnèrent le titre de "Jezeus", ce qui signifie "pure essence".
Krishna doit revenir se battre avec le "Prince du Mal", qui désolera la Terre.
L'histoire de Mithra précède la fable chrétienne d'au moins six cent ans. D'après Wheless, le culte de Mithra était, peu avant l'ère chrétienne, le plus populaire et répandu des religions 'paiennes' de l'époque. Mithra a les caractéristiques suivantes en commun avec le Christ:
Mithra est né d'une vierge le 25 décembre.
Il était considéré comme un grand professeur et un maître itinérant.
Il était appelé "le Bon Berger."
Il était considéré comme "la Voie, la Vérité et la Lumière."
Il était encore considéré comme "le Rédempteur," "le Sauveur," "le Messie."
Il était identifié à la fois au Lion et à l'Agneau.
Son jour sacré était le dimanche, le "jour du Seigneur", des centaines d'années avant l'émergence du Christ.
Il avait sa fête principale à la date qui allait ensuite devenir Pâques, correspondant à sa résurrection.
Il avait 12 compagnons ou disciples.
Il effectuait des miracles.
Il a été enterré dans un tombeau.
Après trois jours, il s'est relevé.
Sa résurrection était célébrée chaque année.
Sa religion comportait une eucharistie ou "dîner du Seigneur".
On a affirmé que le Dieu Grec Prométhée venait d'Egypte, mais son drame se situa en fait dans les montagnes du Caucase. Prométhée partage avec le Christ de nombreux points communs.
Prométhée descendit du ciel comme un Dieu pour s'incarner en homme afin de sauver l'humanité.
Il fut crucifié, souffrit et fut ressuscité.
Il fut appelé le Verbe ou le Mot.
La tradition affirme que Prométhée fut crucifié sur un rocher, mais cependant certaines sources indiquent qu'il fut crucifié sur un arbre et que les Chrétiens modelèrent l'histoire et/ou mutilèrent le texte, comme ils le firent avec les ouvres de tant d'auteurs anciens. Quoiqu'il en soit, le Soleil caché par l'obscurité constitue un parallèle avec le récit chrétien de l'obscurité qui tomba quand Jésus fut crucifié. Cet événement remarquable, qui n'est pas enregistré dans l'histoire, n'est explicable qu'à l'intérieur d'un mythe et comme partie d'une pièce récurrente.
Les chrétiens ont effectué une telle censure que cela a mené à l'analphabétisme virtuel du monde antique ; de plus, ils se sont assurés que leur secret serait caché des masses, mais les érudits des autres écoles et sectes n'ont jamais renoncé à leurs arguments contre l'historicisation d'un être mythologique très antique. Nous avons perdu les arguments de ces dissidents érudits parce que les chrétiens ont détruit toutes les traces de leurs travaux. Néanmoins, les chrétiens ont préservé les conflits avec leurs détracteurs par les propres réfutations.
Par exemple, un des premiers pères de l'église, Tertullien (160-220 C.E.) "ex-païen" et évêque de Carthage, admet ironiquement les véritables origines du récit du Christ et de tous les autres hommes-dieux en énonçant une réfutation de ses critiques, "Vous dites que nous adorons le soleil; mais vous aussi."(23) Point notable, initialement croyant et défenseur acharné de la foi, Tertullien renonça ensuite au christianisme (24).
La raison pour laquelle tous ces récits sont si semblables, avec un homme-dieu qui est crucifié et ressuscité, qui fait des miracles et a 12 disciples, est que ces contes sont basés sur les mouvements du soleil dans les cieux, un développement astrothéologique qui peut être retrouvé sur toute la planète parce qu'on peut observer le soleil et les 12 signes de zodiaque tout autour du globe. Autrement dit, Jésus-Christ et tous les autres sur qui son personnage est fondé sont des personnifications du soleil, et l'Évangile est simplement une répétition d'un texte mythologique (le "Mythos", voir plus haut) concernant les mouvements du soleil dans les cieux (25).
Par exemple, la plupart des hommes-dieux crucifiés ont leur anniversaire traditionnel le 25 décembre. C'est parce que les anciens se sont rendu compte que (d'une perspective géocentrique) le soleil effectue une descente annuelle vers le sud jusqu'au 21ème ou 22ème jour de décembre, le solstice d'hiver, qu'il cesse ensuite de se déplacer vers le sud pendant trois jours et puis recommence à se déplacer vers le nord. A ce moment, les anciens disaient que le "soleil de Dieu" "était mort" pour trois jours avant de "ressusciter" le 25 décembre. Les anciens se rendaient compte de façon très claire qu'ils avaient besoin du Soleil chaque jour et qu'ils auraient de gros ennuis si le soleil continuait à se déplacer vers le sud et ne s'arrêtait pas pour inverser sa direction. Ainsi, ces nombreuses cultures célébraient l'anniversaire du "soleil de Dieu" le 25 décembre(26). Suivent les caractéristiques du "soleil de Dieu":
Le soleil "meurt" pendant trois jours le 22 décembre, lors du solstice d'hiver, quand il arrête son mouvement vers le sud, avant de renaître le 25 décembre, lorsqu'il reprend son mouvement vers le nord.
Dans certaines cultures, le calendrier commençait initialement dans la constellation de la Vierge, et le soleil était donc " né d'une Vierge."
Le soleil est la "Lumière du Monde."
Le soleil "vient sur des nuages, et chaque oil le verra".
Le soleil se levant le matin est le "Sauveur de l'humanité".
Le soleil porte une "couronne d'épines" ou halo.
Le soleil "marche sur les eaux. "
Les "disciples" du soleil sont les 12 mois et les 12 signes du zodiaque ou constellations, par lesquels le soleil doit passer.
Le Soleil à 12 heures est dans la maison ou le temple du "Plus Haut" ; par conséquent , "il" commence le "travail de son père" à l' "âge" de 12 ans.
Le Soleil entre dans chaque signe du Zodiaque à 30° ; en conséquence, le "soleil de Dieu" commence son ministère à l' "âge" de 30 ans.
Le Soleil est tenu sur une croix ou "crucifié", ce qui représente son passage par les équinoxes, celle de Printemps étant Pâques (Easter), époque à laquelle il est ressuscité.
Contrairement à la croyance populaire, les anciens n'étaient pas ignorants et superstitieux au point de considérer leurs dieux comme de véritables personnes. En fait, cette propagande calomnieuse représente une partie de la conspiration pour faire croire que les anciens étaient effectivement la populace hébétée qui avait grand besoin de la "lumière de Jésus". La vérité est que les anciens n'étaient pas moins avancés dans leurs pratiques spirituelles et morales, et même plus avancés dans de nombreux cas, que les chrétiens avec leur prétendue spiritualité et idéologie qui, avec cette atteinte à l'historicité, ont en fait dégradé l'ancien Mythos. En effet, à la différence des chrétiens "supérieurs", l'élite intellectuelle des anciens se rendait bien compte que leurs dieux étaient de nature astronomique et atmosphérique. Platon, Socrate et Aristote savaient sûrement que Zeus, le père et dieu du ciel qui est arrivé en Grèce originaire d'Inde et/ou d'Egypte, n'était pas une véritable personne, malgré le fait que les Grecs avaient indiqué en Crète à la fois une caverne de naissance et une caverne de la mort de Zeus. De plus, on peut trouver à plusieurs endroits du monde des sites où ce prétendu Dieu est né, mort, a marché, souffert, etc, un procédé commun qui n'est pas monopolisé et n'a pas commencé avec la Chrétienté.
Zeus, connu aussi comme "Zeus Pateras," que nous prenons maintenant automatiquement pour un mythe et non pas une figure historique, prend son nom de sa version indienne, "Dyaus Pitar." A son tour Dyaus Pitar est relié au "Ptah" égyptien, et de Pitar et de Ptah vient le mot "pater," ou "père." "Zeus" provient de "Dyaus," qui est devenu "Deos," "Deus" "Dios" et "Dieu." "Zeus Pateras," comme Dyaus Pitar, signifie, "Dieu le père", un concept très ancien qui en aucun cas n'a commencé avec "Jésus" et la chrétienté. Il n'est pas question de considérer Zeus comme un personnage historique. Dyaus Pitar est devenu "Jupiter" dans la mythologie romaine, et de la même façon n'est pas représentatif d'un personnage réel et historique. Dans la mythologie égyptienne, Ptah, le père, est le "dieu-force" invisible, et le soleil était considéré comme le mandataire visible de Ptah qui apporte la vie éternelle sur terre; par conséquent, le "fils de Dieu" est vraiment le "soleil de Dieu." En effet, selon Hotema, le nom même du " Christ " vient du mot "Kris" (comme dans Krishna), qui est un nom pour le soleil(27).
En outre, puisque Horus s'est appelé "Iusa/Iao/Iesu" le "KRST" et que Krishna/Christna était appelé "Jezeus" plusieurs siècles avant un quelconque personnage juif portant le même nom, il serait plus sûr de considérer que Jésus-Christ n'est qu'une répétition de Horus et Krishna, entre autres. Selon le révérend Taylor, le titre "Christ" dans son forme hébraïque, signifiant "Oint" ("Masiah") a été porté par tous les rois d'Israel, et il était "tellement emprunté par tous les imposteurs, prestidigitateurs, et personnes prétendant à des communications surnaturelles, que la seule référence à ce mot est considérée comme une indication d'imposture dans l'évangile elle-même."(28) Hotema établit que le nom de "Jésus-Christ" n'a été officiellement adopté sous cette forme que lors du premier Conseil de Nicée, en 325 C.E.(29)
En réalité, même les noms de lieu et les appellations de beaucoup d'autres personnages du nouveau testament peuvent être considérés comme des traductions hébraïques des textes Egyptiens.
Par exemple, dans le fable de "Lazare," la momie élevée des morts par Jésus, les copistes chrétiens n'ont pas beaucoup changé son nom, puisque "El-Azar-us" étant la momie égyptienne élevée des morts par Horus probablement au moins 1.000 ans avant la version Juive(30). Ce récit est une allégorie pour le passage du soleil par la "constellation de la momie," lui apportant la lumière et la vie(31). Ce n'est pas une histoire vraie.
L'ennemi principal de Horus - initialement l'autre visage d'Horus ou son aspect "sombre" - était "Set" ou "Sata," d'où vient "Satan." (32) Horus lutte avec Set de la façon exacte dont Jésus lutta avec Satan, 40 jours dans le désert, entre autres similitudes(33). C'est parce que ce mythe représente le triomphe de la lumière sur l'obscurité, ou le retour du soleil pour soulager la terreur de la nuit.
"Jérusalem" signifie simplement la "ville de la
paix," et il y a des raisons de suspecter que la ville réelle en Israel ait été
nommée d'après la ville sainte de la paix des textes sacrés égyptiens
qui existaient déjà avant que la ville ait été fondée. De même, "Béthany,"
célèbre site de la multiplication des pains, et qui signifie la "Maison de
Dieu," est une allégorie pour la "multiplication du nombre à partir de
l'Unité."(34) N'importe quelle ville
portant ce nom était probablement nommée à partir de l'endroit allégorique des
textes qui existait avant la formation de la ville. Le prédécesseur et sa
contrepartie égyptienne est "Bethanu."(35)
Le mot Israel lui-même, loin d'être une appellation juive, vient probablement de la combinaison de trois dieux régnants différents: Isis, la Déesse Mère de la Terre révérée dans tout le monde antique; Ra, le dieu-soleil égyptien; et El, le dieu Sémite que nous connaissons sous le nom de Saturne. (39) "El/Saturn" était un des noms les plus anciens pour le dieu des anciens Hébreux (d'où Emmanu-El, Micha-El, Gabri-El, Samu-El, etc.), et son culte se reflète dans le fait que les juifs considèrent toujours samedi ("Saturday") comme le "jour de Dieu."(40)
En effet, le fait que les chrétiens adorent le
dimanche ("Sunday") trahit les origines véritables de leur dieu et homme-dieu.
Leur "sauveur" est en fait le soleil, qui est la "Lumière du monde que chaque
oil peut voir." Le soleil a été constamment considéré à travers l'histoire
comme le sauveur de l'humanité pour d'évidentes raisons. Sans soleil, la
planète ne durerait qu'un jour tout au plus. Le Soleil était tellement
important pour les anciens qu'ils ont composé un "Livre du Soleil", ou "Helio
Biblia", qui est devenu la "Sainte Bible" ("Holy Bible").
En effet, la légende de Moïse, loin d'être celle d'un personnage Hébreu historique, peut être retrouvée dans l'Extrême et le Moyen-Orient antique, le personnage ayant différents noms et appartenances ethniques, selon l'endroit: "Manou" est le législateur Indien ; "Nemo le législateur," qui a descendu les tablettes de la Montagne de Dieu, vient de Babylone; on trouve "Mises" en Syrie et en Egypte, où "Manes le législateur occupe aussi la scène ; Minos est le réformateur Crétois et les Dix Commandements ("Décalogue") sont une simple répétition du code Babylonien d'Hammurabi et des Védas Hindous, entre autres (43). Comme Moïse, Krishna a été placé par sa mère dans un bateau de roseau, et abandonné au fleuve avant d'être découvert par une autre femme(44) Il y a un siècle, Massey a souligné, et Graham a récemment réitéré, que l'exode lui-même n'est pas un événement historique. Que la réalité de l'exode soit remise en question est renforcé par le manque d'un quelconque enregistrement archéologique, comme le signale La revue biblique d'archéologie ("BAR"), de Septembre/Octobre 1994.(45)
Comme la majorité des personnages bibliques principaux, Noé est également un mythe (46), il y a bien longtemps emprunté aux Egyptiens, aux Sumériens et à d'autres, comme n'importe quel érudit expérimenté pourrait le démontrer, et cependant nous trouvons toutes sortes de livres - dont certains transmettant même la "vérité finale" fournie par un être mystique, omniprésent, omniscient et éternel, comme Jésus lui-même - jasant sur un véritable Noé historique, ses aventures extraordinaires, et la "Grande Inondation !" (47)
De plus, l' "Esther" du Livre d'Esther dans le Vieux Testament est une réminescence de la déesse Ishtar, Astarte, Astoreth ou Isis, dont vient "Pâques" ("Easter") (48) et au sujet de laquelle peu est dit dans le "Mot infaillible de Dieu" sur son règne si étendu dans l'espace et le temps. (49) Le motif de la Vierge Mère/Déesse/Reine des Cieux se retrouve sur tout le globe, bien avant l'ère Chrétienne, Isis étant par exemple aussi appelée "Mata-Meri" ("Mère Marie"). Comme le dit Walker, "Mari" était le "nom de base pour la Déesse connue des Chaldéens comme Marratu, des Juifs comme Marah, des Perses comme Mariham, des Chrétiens comme Marie. Les sémites adoraient une combinaison androgyne de la Déesse et du Dieu, appelé Mari-El (Marie-Dieu), qui correspondait à l'Egyptien Meri-Ra, qui combinait le principe féminin de l'eau au principe masculin du Soleil. "
Même le nom hébraïque de Dieu, "Yahweh," a été pris du mot égyptien, "IAO." (50)
Dans l'une des tromperies Chrétiennes les plus connues, et afin de convertir les fidèles du "Seigneur Bouddha", l'Eglise le canonisa comme St Josaphat", ce qui représentait l'interprétation chrétienne du titre bouddhique "Bodhisat".
À cet égard, il convient de noter qu'il y a une
autre discussion pour savoir si Qumran, le site traditionnellement associé aux
Rouleaux de la Mer Morte, était une communauté d'Esséniens. Dans BAR,
précédemment citée, on signale que les trouvailles archéologiques indiquent que
Qumran n'était pas une communauté d'Esséniens mais était
probablement une halte pour des voyageurs et des négociants traversant la Mer
Morte. Dans BAR, on a également présumé que le ton fervent et le style guerrier
de certains des rouleaux déterrés près de Qumran dénient une origine Essénienne
et indiquent plutôt une attribution possible aux fanatiques Zélotes Juifs. Dans
Qui a écrit les Rouleaux de la Mer Morte, Norman Golb plaide avec
succès que ces documents n'ont pas été écrits par des scribes d'Essène, mais
étaient une collection de livres d'une variété de bibliothèques qui ont été
cachés dans des cavernes à l'est d'Israel par des Juifs qui voulaient échapper
aux armées de Rome pendant la première révolte 70 A.D. Golb a aussi présumé que
Qumran était une forteresse et non un monastère. De toute façon, il est
impossible d'identifier l' "enseignant de justice" trouvé dans les rouleaux à
Jésus-Christ.
Conclusion
Comme le dit Walker, "Les efforts des érudits pour éliminer le paganisme des Evangiles, afin de retrouver le personnage historique de Jésus, se sont avérés aussi désespérés que de rechercher le noyau d'un oignon." L'histoire "Évangélique" de Jésus n'est pas une représentation effective d'un "maître" historique qui a marché sur la terre il y a 2.000 ans. C'est un mythe établi à partir d'autres mythes et hommes-dieux, qui étaient à leur tour des personnifications du mythe omniprésent du dieu-soleil.Le Christ des Evangiles n'est en aucun cas un personnage historique ou un modèle suprême de l'humanité, qui souffrit, essaya et échoua à sauver le monde par sa mort. Il est impossible d'établir l'existence d'un personnage historique même en tant qu'imposteur. Car dans ce cas les deux témoins que sont la mythologie astronomique et le gnosticisme s'avèrent être un alibi. Le Christ est une figure populaire qui n'a jamais existé, une figure d'origine paienne ; une figure qui fut le Bélier et ensuite le Poisson ; une figure qui était sous forme humaine le portrait et l'image d'une douzaine de dieux différents.
Gerald Massey
(1)
Dans '80s cette la polémique a éclaté de nouveau quand GA Wells a publié Jésus
A-t-il existé? et plus tard l'évidence historique pour Jésus,
dont tous les deux ont recherché à montrer que Jésus est un caractère non
historique. Une tentative de nier Wells a été faite par Ian Wilson en Jésus:
L'évidence, un livre entier écrit pour établir que Jésus a existé. (Il
y a un chapitre intitulé, "Jésus A-t-il même existé?," ce qui en soi place
immédiatement probablement jusqu'ici un doute inconnu dans l'esprit du
lecteur.) Il convient noter qu'aucun un tel livre ne serait nécessaire si
l'existence de Jésus le Christ comme figure historique étaient un fait prouvé
reçu par tous.
(2)
En ce qui concerne le travail fin d'Erich von Daniken, Zecharia Sitchin et
d'autres, il devrait comprendre que peu des histoires de dieux-hommes peuvent
être pris littéralement pour indiquer les "maîtres" surhumains réels ou les
présences et les influences extraterrestres. La plupart de ces caractères sont,
aux mythologistes instruits, clairement mythes.
(3)
"Evemerism," a nommé après Evemeras, un philosophe grec qui, en 4ème siècle.
B.C.E., a développé l'idée que, plutôt que d'être les créatures mythologique de
même qu'a été reçu par les intellectuels régner, les dieux de vieux étaient en
fait les caractères historiques, rois, empereurs et les héros dont les exploits
étaient alors deifiés. (Voir le Dujardin, ci-dessous.)
(4)
Avec Avec la reconnaissance à Randel Helms, auteur de fictions dÉvangile.
(5)
L'origine et l'évolution de la religion par Albert Churchward, p. 394,
fourni par la Health Research.
(6)
Contrefaçon dans le christianisme par Joseph Wheless, p. xviii.
(Health Research.)
(7)
"C.E." dénote "l'ère commune" et est équivalent à "A.D.," tandis que "B.C.E."
dénote "avant l'ère commune" et est équivalent à "B.C."
(8)
Wheless, CIT op.
(9)
Ibid.
(10)
Ibid.
(11)
L'encyclopédie des femmes des
mythes et des secrets, par Barbara Walker, p. 471. Tour. Rev.
Taylor, dans le Diegesis, enregistre à une version légèrement
différente de l'admission de Leo X: "C'était bien connu comment profitable
cette fable du Christ a été à nous. " (renvoi de bas de page, p. 35.) (Health
Research)
(12)
Histoire antique de Dieu Jésus par Edouard Dujardin, p. 33. (Health
Research.)
(13)
Ibid., p. 36.
(14)
Christianisme gnostique et historique par Massey (voir ci-dessous).
Voyez aussi le Diegesis par Rev. Robert Taylor (Health Research), les
16 sauveurs crucifiés du monde par Kersey Graves, Pagan Christs
par JM Robertson, tous les travaux par Hilton Hotema (Health Research), fois
païennes et chrétiennes par Edward Carpenter (Health Research), et déceptions
et mythes de la bible par Lloyd Graham.
(15)
Graves, p. 15.
(16)
Walker, CIT op.
(17)
Pagan Christs
par JM Robertson.
(18)
Isis a dévoilé par Helena Blavatsky, vol. II, pp 209, 537-538.
(19)
Churchward, CIT op, p. 365. Voyez aussi le livre votre église ne veut pas que
vous lisiez, pp 15-16.
(20)
Churchward, ibid., p. 397. Voyez également le livre égyptien des morts
par Massey, pp 13 et 64.
(21)
Churchward, Ibid., p. 366.
(22)
Robertson, CIT op.
(23)
Wheless, CIT op, p. 147.
(24)
Ibid., p. 144.
(25)
Jordan Maxwell, le livre votre église ne veut pas que vous lisiez, les
fois païennes et chrétiennes, par Carpenter, le Diegesis par
Taylor. Voir également le Massey, Churchward, Hotema, Graves, et autres.
(26)
Ibid.
(27)
Le livre égyptien des morts par Massey, pp 1-2.
(28)
Le Diegesis, p. 7.
(29)
Introduction au livre égyptien des morts par Massey, p. 9.
(30)
Déceptions et mythes de la bible, par Lloyd Graham, p. 338.
(31)
Massey, christianisme gnostique et historique, Sure Fire Press.
(32)
Voir Walker, Massey, Churchward.
(33)
Ibid., p. 398.
(34)
Voir Massey, Churchward et Graham.
(35)
Ibid.
(36)
Jésus historique et le Christ mythique, pp 3-6. (Recherche De Santé.)
(37)
Churchward, CIT op, p. 399.
(38)
Ibid., p. 397.
(39)
Walker, CIT op.
(40)
Voyez la série visuelle a appelé " la vérité nue" de L'IRES, disponible au
cadre 7536, Newport Beach, CA 92658-7536 ou par Lightworks.
(41)
Walker, CIT op, p. 5.
(42)
Dujardin, CIT op.
(43)
Maxwell, Graham, Taylor.
(44)
Le Mahabharata.
(45)
L'article dans BAR recherche à montrer que l'exode est historique.
(46)
Voir Walker, CIT op, et Jordan Maxwell.
(47)
Il y a eu des inondations et inonde des histoires dans beaucoup de différentes
régions du monde, incluant mais non limitées à le Moyen-Orient. La prétendue
inondation de Noé peut se rapporter au inondation annuelle du Nil - un
événement qui a été incorporé en mythologie égyptienne. En outre, le conte de
Noé met en parallèle à bien des égards le mythe grec de Deucalion, qui a
construit une arche et après que l'inondation a débarqué sur la montaigne
Parnassos.
(48)
Walker, et autres, et l'encyclopédie des religions.
(49)
En effet, bien que professant pour contenir l'histoire de l'univers, le "mot
omniscient de Dieu" mentionne à peine les nombreux milliers d'années sur cette
planète que la déesse a été identifiée et adorée et seulement ainsi afin de la
déprécier et convertir ses palpeurs. Aux Lois 19:27, l'auteur admet l'existence
et la popularité de la grande déesse Artemis..."elle que la toute l'Asie et le
monde adorent." En outre, en dépit de tous les efforts d'effacer de l'histoire
la mémoire de la déesse dans le vieux testament, la vérité de son existence a
glissé par le crayon lecteur de redactor aux 1 rois 11:5, où Solomon "est allé
après Ashtoreth la déesse du Simonians." Indépendamment de la présence de ces
quelques passages et d'aucun autre au sujet de la déesse, les compilateurs de
la bible certainement n'ont pas souhaité reconnaître dans comment puissant et
répandu était la croyance et la révérence pour le principe féminin divin.
(50)
Taylor, pp 21-22.
(51)
Walker, CIT op, p. 787.
(52)
"la vérité nue" par IRES.
(53)
Déceptions et mythes de la bible par Graham; Apollonius le Nazarene
par Raymond Bernard, PhD (Health Research).
(54)
Massey, christianisme gnostique et historique.
(55)
Taylor.
(56)
Wheless, CIT op, pp 85-87.
Sources:
Histoire antique de Dieu Jésus par Edouard Dujardin
Déceptions et mythes de la bible par Lloyd Graham
Jésus A-t-il existé? par GA Wells
Contrefaçon dans le christianisme par Joseph Wheless
Christianisme gnostique et historique par Gerald Massey
Isis a dévoilé par Helena Blavatsky
Les fois païennes et chrétiennes par Edward Carpenter
Pagan Christs par JM Roberts
Le livre votre église ne veut pas que vous lisiez
Les écritures du Morts de Mer et le mythe chrétien par John Allegro
Le Diegesis par Rev. Robert Taylor
Le livre égyptien des morts par Gerald Massey
Jésus historique et le Christ mythique par Gerald Massey
L'évidence historique pour Jésus par des GA Well
L'origine et l'évolution de la religion par Albert Churchward
L'encyclopédie des femmes des mythes et des secrets par Barbara Walker
Les 16 sauveurs crucifiés du monde par Kersey Graves
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