L'Egypte antique nous reste encore largement incompréhensible. Les égyptologues sont des nécrophiles dont les certitudes semblent inébranlables. Pourtant quelques vues divergentes existent. Sur le transport des lourdes charges, sur la date de construction du Sphinx, sur la mentalité des anciens Egyptiens voici quelques articles ou extraits de livres qui ne vont pas dans la direction académique, sans pourtant tomber dans le farfelu et le grotesque, ils sont des pistes à suivre.
A Book in Every Home nous apprend la raison pour laquelle Ed Leedskalnin menait une vie de reclus. «J'ai toujours eu envie d'avoir une petite amie, mais je n'en ai jamais eu.» Quand il était jeune, il était tombé amoureux d'une fille de 16 ans, mais sa cour se solda apparemment par un échec. Peut être est ce parce qu'elle repoussa ses avances, quoique l'opuscule laisse entendre que la véritable raison de ce fiasco est qu'il avait appris qu'elle n'était plus vierge et qu'il trouvait humiliant d'avoir à consommer des «produits gâtés». Il semble avoir été obsédé par l'idée que la plupart des filles dans leurs « tendres seize ans » (une de ses expressions favorites) étaient «gâtées» (il faut dire qu'il considérait un simple baiser comme une preuve de dépravation), et «c'est pourquoi j'ai si bien réussi à résister à la tentation naturelle de faire l'amour». Son petit livre recommande à toutes les mères de ne pas laisser leurs filles fréquenter des «garçons pleins de fougue» et va même jusqu'à leur conseiller de s'offrir à leur place.
La déception amoureuse de Leedskalnin l'avait conduit à se retirer à Homestead, en Floride, où il avait mis au point quelque procédé secret pour transporter et soulever des blocs géants d'un poids moyen de six tonnes et demie ‑ plus que le poids moyen des blocs de la Grande Pyramide.
Christopher Dunn s'était rendu pour la première fois au Château de Corail en 1982 ; à la suite de ma lettre, il avait eu la gentillesse de bien vouloir y faire une seconde visite qui acheva de le convaincre que Leedskalnin disait peut être tout simplement la vérité quand il affirmait: «Je connais le secret de la construction des pyramides.» Mais il refusait de le divulguer, même aux autorités américaines, qui envoyèrent des enquêteurs sur place. Le seul indice qu'il consentirait à donner c'est que «toute matière se compose d'aimants individuels et c'est le mouvement de ces aimants dans l'espace à l'intérieur de la matière qui produit des phénomènes mesurables, c'est‑à‑dire le magnétisme et l'électricité».
Christopher Dunn en discuta avec un collègue, Stefen Defenbaugh, et ils parvinrent à la conclusion que Leedskalnin avait dû inventer une sorte de système antigravitationnel. Mais il leur fallait bien admettre que le simple fait de se lever le matin est aussi un système antigravitationnel et que cette notion ne rendait pas la solution plus évidente.
D'un autre côté, il existe aujourd'hui des trains à lévitation magnétique qui sont fondamentalement des systèmes antigravitationnels. Si un aimant est suspendu au dessus d'un autre, leurs pôles opposés ont naturellement tendance à s'aligner pour s'attirer mutuellement. Si on empêche cet alignement des pôles, ils se repoussent. Se pourrait il que Leedskalnin ait eu recours à ce principe pour soulever ses gros blocs ? Une photographie du jardin d'Ed Leedskalnin montre un appareil formé de trois poteaux de téléphone disposés en tripode et surmontés d'une boîte carrée. Des câbles en sortent et pendent entre les poteaux. Aucun dispositif de ce genre n'a été découvert dans l'atelier de Leedskalnin après sa mort. Sans doute l'avait il démonté pour empêcher qu'on l'examine.
Ce que Christopher Dunn a trouvé dans l'atelier en revanche, c'est un grand volant magnétique que Leedskalnin utilisait, pense‑t-on, pour produire de l'électricité. Les aimants qui y étaient montés étaient noyés dans du béton. Dunn alla s'acheter un aimant dans une quincaillerie du coin et revint à l'atelier pour faire tourner le volant en tendant l'aimant dans sa direction. Il le sentait tressauter dans sa main comme un train au passage d'un aiguillage. C'était un indice suffisant pour penser que le secret de Leedskalnin avait un rapport avec le magnétisme.
Dunn remarque que la terre elle même est un aimant géant ‑ bien que nous n'ayons encore aucune idée de ce qui cause le magnétisme. Et, bien sûr, la matière elle même est par nature électrique. LeedskaInin avait‑il découvert quelque nouveau principe qui utilisait le magnétisme terrestre ? Ou, si cela paraît trop absurde pour qu'on puisse l'envisager sérieusement, avait‑il trouvé un moyen de transformer son gros bloc de corail en un aimant gigantesque en l'enveloppant de feuilles de métal parcourues par un courant électrique ? S'était il ensuite servi de son système pour le faire bouger ? Aurait il pu soulever son bloc enveloppé de métal comme un train à lévitation magnétique ?
L'objection évidente à toutes ces supputations ‑ pour ce qui concerne la construction des pyramides ‑ c'est que les Égyptiens ignoraient tout de l'électricité et n'avaient pas de fer. En fait, tout le monde n'en est pas convaincu.
Quand Howard‑Vyse fouillait la Grande Pyramide en juin 1837, il ordonna à l'un de ses assistants, J.R. Hill, d'utiliser de la poudre à canon pour dégager l'extrémité du «conduit d'aération» de la Chambre du Roi (celle dont Bauval a découvert qu'elle était pointée dans la direction du baudrier d'Orion en 2500 avant J.‑C.). Hill ouvrit une brèche dans la face sud de la pyramide et, après avoir dégagé les nombreux débris, il découvrit une plaque de fer près de l'orifice du conduit de ventilation. Elle était longue de trente centimètres, large de dix centimètres, épaisse de trois millimètres, et ne ressemblait pas à du fer météorique. En fait, comme on aurait plutôt dit du fer forgé ordinaire, les «experts» étaient enclins à douter de son authenticité.
Mais quand Flinders Petrie examina l'objet en 1881, il trouva dans la rouille des protozoaires fossilisés qui indiquaient que la plaque était restée longtemps enfouie près d'un bloc de calcaire contenant des fossiles. En 1989, elle fut réexaminée par le Dr M.P Jones du Département des ressources minières de l'Imperial College de Londres. Il démontra, avec l'aide d'un confrère spécialiste de la métallurgie, le Dr Sayed El Gayer, qu'il ne s'agissait pas de fer météorique, car sa teneur en nickel était trop faible. Leurs tests prouvaient que la plaque avait été fondue à une température de plus de mille degrés centigrades et qu'il y avait sur une face des traces d'or qui donnaient à penser qu'elle avait jadis été plaquée d'or. La conclusion semblerait être que les Égyptiens savaient comment faire fondre du minerai de fer... près de deux mille ans avant l'âge du fer.
Les traces d'or suscitent une autre hypothèse : le placage par un procédé électrique. En juin 1936, l'archéologue allemand Wilhelm Kônig, du musée de Bagdad, en Irak, découvrit un vase d'argile renfermant un cylindre de cuivre à l'intérieur duquel ‑ maintenue par de l'asphalte et du plomb ‑ se trouvait une tige de fer. Il s'agissait selon lui d'une sorte de batterie primitive. Comme l'objet avait été découvert dans une tombe parthe datant d'environ 250 avant J.‑C., les milieux archéologiques rejetèrent cette conclusion. Mais un autre égyptologue allemand, le Dr Anne Eggebrecht, convaincu par les arguments de Kônig, construisit une reproduction qui, une fois remplie de jus de fruit, produisit un courant électrique d'un demi volt pendant dix‑huit jours. Il put l'utiliser pour recouvrir d'or une figurine d'argent en une demi heure. Eggebrecht avait remarqué certaines statues égyptiennes plaquées d'or dont le revêtement paraissait trop mince et trop délicat pour avoir été collé ou martelé et il en avait conclu que, selon toute probabilité, les Égyptiens connaissaient la dorure par galvanoplastie. Il semble certain que c'était aussi le cas des Parthes, car on voit mal à quoi la batterie pouvait servir d'autre.
Certains auteurs ont évoqué une possibilité encore plus intrigante. L'une des énigmes posées par les peintures trouvées dans les tombes égyptiennes est de savoir comment les artistes s'éclairaient pour travailler ‑il n'y a nulle trace de suie sur les plafonds. Mais sur les murs du temple de Dendera, on trouve des gravures qui pourraient évoquer des lampes électriques et des isolateurs. Sans doute cela supposerait il aussi l'invention d'une ampoule électrique dans laquelle on aurait fait le vide, ce qui semble un peu tiré par les cheveux... Il parait beaucoup plus probable que les artistes utilisaient des lampes à huile aux mèches bien coupées ou qu'ils ont soigneusement nettoyé la suie qui tachait les plafonds. Mais ces hypothèses ont le mérite de nous rappeler que nous n'avons encore aucune idée du procédé utilisé par les Égyptiens pour évider le sarcophage de la Chambre du Roi, ou l'intérieur de vases au col trop fin pour qu'un enfant puisse y passer le doigt. La seule chose certaine, c'est qu'ils en savaient beaucoup plus que nous ne voulons bien l'admettre.
Le problème essentiel pourrait bien être celui que nous avons tenté de mettre en évidence dans ces derniers chapitres : en tant que produits d'une culture technologique, il nous est presque impossible de pénétrer les esprits d'une culture plus simple, plus primitive. Schwaller de Lubicz ne se lasse pas de répéter que, si les anciens Égyptiens s'exprimaient par des symboles, ce n'était pas parce que leurs hiéroglyphes « symbolisaient » quelque chose au sens où l'entend Freud quand il affirme qu'un obélisque symbolise un phallus. Le symbole était la seule façon d'exprimer ce qu'ils voulaient dire. Y chercher un sens caché, c'est un peu comme aller se planter devant un paysage de Constable en disant : « Je me demande ce qu'il a voulu dire par là ? »
Nous devons essayer de comprendre ce que c'est que d'appartenir à une civilisation qui est totalement unifiée par la religion. Comme le dit Schwaller : « L'Égypte ancienne n'avait pas une "religion" à proprement parler ; elle était religion dans sa totalité, au sens le plus large et le plus pur du terme. »
Nous pouvons peut être
nous en faire une idée si nous pensons aux membres de l'une de ces sectes
messianiques modernes qui prennent leur chef pour Dieu, ou pour une
réincarnation du Christ.
Cette statue colossale mi-homme mi-lion, gardienne des pyramides de Gizeh, nous émerveille depuis toujours. Mais, aujourd'hui la science remet en question la date de construction du sphinx.
Contemplant fièrement le soleil levant, le grand sphinx, la plus
grandes statue du globe, inspire depuis des siècles des mites,
fables et légende. Ce monument énigmatique, symbole de l'Egypte vers
2500 avant. J.-C.
Aussi, lorsqu'en 1991, des indices géologiques indiquèrent que le sphinx aurait été construit vers env. 6000 ans avant J. -C, c'est dire 3 000 ans avant l'avènement de la civilisation de l'Egypte ancienne, l'information plongea l'égyptologie dans un profond désarroi., semble encore receler bien des secrets. Selon les théories en vigueur, le sphinx de Gizeh aurait été construit par Képhren.
Au XIXème siècle, les spécialistes considéraient déjà volontiers que le sphinx était déjà plus ancien que les pyramides voisines. Pourtant au XXème siècle, une nouvelle thèse sur l'âge du sphinx s'imposa avec l'attribution de sa construction a Képhren, pharaon qui régna de 2520 a 2494 avant J.-C.
Opinion discordantes
Pour les égyptologues partisans de cette doctrine officielle, la
construction du sphinx date du règne de Képhren notamment parce que
son visage a les traits d'une statue de ce pharaon, exposé au musée
du Caire. Pour ouvrir une brèche dans les certitudes des pontes de
l'égyptologie, il fallut quinze ans à John West, écrivain américain
et égyptologue autodidacte. Afin de parvenir à refuser cet argument
de ressemblance morphologique entre le sphinx et ce qui aurait été
son modèle, West fit appel à des méthodes pour le moins
inhabituelles. Il s'attacha en effet les services du lieutenant
Frank Domingo, expert de la police de New York, spécialisés dans la
reconstruction de visages mutilés ou incomplets.
Domingo entreprit une comparaison détaillée des deux faciès, celui du sphinx et celui de la statue de Képhren se trouvant au musée du Caire. Sa conclusion fut que les deux statues représentaient des «individus distincts». Domingo ajoute : «Si des preuves irréfutables démontrent par la suite que le Sphinx était bien à l'effigie de Képhren, alors les artistes qui ont travaillé sur ce monument étaient de piètres techniciens».
Les égyptologues les plus conservateurs ont considéré le travail que le travail de Domingo n'avait pas de valeur scientifique. James Romano, spécialiste du Brooklyn Museum de New York, déclara que l'art égyptien n'était pas «de la photographie» mais une «réalité idéalisée», que Domingo «plaquait des normes modernes sur une esthétique ancienne» et que ses analyses n'avaient par conséquent aucune pertinence scientifique.
La pluie du désert
Aux yeux des égyptologues, les éléments apportés par Domingo ne constituèrent pas une preuve susceptible de remettre en question la datation du Sphinx communément admise. West enfourcha alors un nouveau cheval de bataille. Il suggéra que le l'érosion du Sphinx n'était pas due aux vents ou au sable du désert, mais à l'eau et la pluie. Or cette opinion pouvait également remettre en cause l'estimation en vigueur de l'âge du monument : la plus ancienne grande période de pluie connue en Egypte remontait en effet à la fin de la dernière glaciation, soit 12 000 ans avant J.-C… Pour que cette nouvelle théorie soit à même de convaincre les égyptologues les plus rétifs, John West devait obtenir la coopération d'un expert géologue de renom, dont les travaux et recherches ne souffrirait aucune critique. John West parvint à trouver un scientifique répondant à ces critères en la personne de Robert Schoch, de l'université de Boston.
D'esprit large, Schoch accepta cette mission peu académique. L'examen sur site auquel il procéda confirma que le corps du Sphinx et les parois du fossé dans lequel il repose portent des signes classique d'érosion par l'eau. Il constata également que le monument et l'ensemble des temples avoisinants avaient été taillés dans la même roche. Il releva ensuite une curieuse anomalie : le Sphinx et le mur qui l'entoure avaient été attaqués par l'érosion sur un mètre d'épaisseur, alors que des strates rocheuses voisines, de nature identique, n'avaient pas subi les mêmes dégradations. Ceci tendait à démontrer que le Sphinx avait été construit en plusieurs étapes, les parties les plus anciennes datant d'une époque compatible avec l'importance de l'érosion par l'eau et d'autres parties de l'édifice, plus récentes, ayant surtout été exposées aux méfaits du vent et du sable.
Réponses souterraines
Pour consolider son argumentation, West cherche à savoir à quelle
époque la roche aux alentours du Sphinx avait été taillée pour la
première fois, «détail» qui lui permettrait de déterminer la
période de construction du monument. Il fit ainsi venir un
sismologue de Houston, Thomas Dobecki. En étudiant l'état des
sédiments autour du sphinx, Dobecki pensait en effet pouvoir dater
sa construction de manière fiable, partant du principe que plus
l'érosion de la roche par l'eau serait profonde, plus sa durée
d'exposition à la pluie aurait été longue.
Selon les analyses de Dobecki, le corps du Sphinx aurait
effectivement été taillé par étapes et l'avant du monument, plus
fortement érodé, serait plus ancien que l'arrière, d'environ 3000
ans.
Le lifting du Sphinx
Schoch en conclut que conclut que Képhren avait dû découvrir le
Sphinx inachevé. Il aurait restauré le monument, ainsi que les
temples alentours, notamment en dallant de granit le sol calcaire du
site. Toujours selon Schoch, en raison de son grand âge, le Sphinx
aurait subi plusieurs campagnes de réparations pendant les
millénaires qui suivirent. Il avance que les égyptiens avaient dû le
découvrir avec un tout autre visage, car sa tête est
proportionnellement plus petite que son corps : la statue aurait
donc été modifiée et adaptée au style de l' Egypte Antique.
Les révélations ne s'arrêteraient pas là : au cours de ses
expériences, Dobecki déclara l'existence de tunnels inconnus et
d'une vaste salle rectangulaire située cinq mètres en dessous des
pattes avant du Sphinx. Selon Dobecki, cette chambre aurait été
réalisée par l'homme…. mais par qui ?
La piste des Atlantes
Fait étrange, l'existence de cette chambre avait été prédite
soixante ans plus tôt par Edgar Cayce, célèbre parapsychologue
américain surnommé le « Prophète dormant ». En date du 29 octobre
1935, Cayce avait perçu, lors de d'un état de transe, des vies
antérieures de l'Egypte ancienne. A la suite de ce contact, Cayce
avait déclaré que les survivants de l'Atlantide étaient venus en
Egypte en 10 500 avant J.-C. et y avaient construit le Sphinx et la
grande pyramide au cours du siècle suivants.
Coïncidence troublante, Cayce avait également prédit qu'avant la fin
du XXème siècle «une salle des archives… serait trouvée là où une
ligne sépare l'ombre de la lumière entre les pattes du Sphinx».
Selon lui, la chambre mystérieuse contenait une bibliothèque
renfermant le savoir de la civilisation perdue.
Le professeur Schoch, universitaire soucieux de sa réputation, ne s'est pas laissé entraîner dans des controverses débordant du cadre de la géologie et a malgré tout considéré que le Sphinx ne remontait pas à plus de 8500 ans, West souscrit en revanche à la théorie des Atlantes et affirme que le monument remonte au moins à 12000 ans. En tout état de cause, les scientifiques tendent aujourd'hui à penser que le Sphinx est beaucoup plus ancien qu'on ne l'a précédemment admis, et les égyptologues n'ont pas encore trouvé de riposte convaincante aux conclusions de Schoch. Mais la principale question soulevée demeure : qui a construit le Sphinx et comment ? De plus en plus de chercheurs considèrent désormais que ce subit «vieillissement» du Sphinx apporte des éléments confortant la thèse d'une civilisation avancée, disparue depuis lors, qui pourrait être l'Atlantide.
En 1993, lorsque John West soutint cette hypothèse de manière
explicite, il attira sur lui les foudres de Zahi Hawass, directeur
général des pyramides de Gizeh. Ce dernier décida en conséquence
d'interdire à West et à son équipe de poursuivre leurs recherches
sur le site.
Bizarrement, on a depuis constaté un changement d'attitude radical
de la part des autorités égyptiennes. En avril 1996, une nouvelle
autorisation permettant la poursuite de l'exploration du Sphinx fut
accordée à un certain Joseph Schor, millionnaire américain possédant
des liens étroits avec l'ARE, riche et influente organisation
internationale promouvant les enseignements d'Edgar Cayce…
Des révélations publiques
Schor et Hawass ont depuis annoncé conjointement qu'il existait des
tunnels secrets sous le Sphinx et que, dans un proche avenir, ces
chambres pourraient être vues en direct par les téléspectateurs du
monde entier. Si tel est le cas, nous découvrirons alors si les
prédictions de Cayce concernant l'Atlantide sont exacts. Et si la
chambre mystérieuse abrite les preuves de l'âge du Sphinx, il est
probable que l'on en sache bientôt davantage sur les objets même de
sa vigilance : les pyramides de Gizeh.
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